Photoclimat est la première biennale environnementale et sociale
gratuite et en plein air qui se tient pendant un mois au cœur de
Paris et
en région parisienne. Elle a pour but de donner de la visibilité
à des ONG et Fondations à travers l’art photographique,
afin de rendre compte
de leurs actions au quotidien, de valoriser leur travail ainsi que celui
des personnes qui s’engagent auprès d’elles. À
travers un parcours d’expositions artistiques, événements
et rencontres portés par des ONG, la biennale offre à tous
les publics - grand public, jeune public,
acteurs et leaders de l’écologie, entreprises, pouvoirs publics
- une sensibilisation aux enjeux sociaux et environnementaux de notre
temps.
L’art et la culture sont utilisés comme médiateurs
dans cette manifestation unique, réunissant artistes et ONG autour
de l’engagement
citoyen. Des parcours pédagogiques sont également mis en
place pour toucher le jeune public, acteur du changement de demain.
Accessible à tous grâce à son format en extérieur,
Photoclimat mixe œuvres contemporaines et photographies de reportage
dans d’immenses scénographies éco-conçues,
qui intègrent le principe de l’économie circulaire
et du recyclage.
Place
de la Concorde - Côté Seine
: Where
children sleep
: James Mollison x Fondation Polygone - GL Events
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James
Mollison
James
Mollison est né au Kenya et a grandi en Angleterre. Après
des études de cinéma et de photographie à
la Newport School of Art, il s’installe en Italie pour travailler
au sein de Fabrica, le laboratoire créatif de Benetton.
Il vit aujourd’hui à Venise. Son travail se caractérise
par des concepts originaux appliqués à des thématiques
sociales et culturelles. Il est l’auteur de Where Children
Sleep, un projet en cours sur des enfants du monde entier
et leurs chambres, qui explore les réalités complexes
de leur vie.
à
droite : la chambre de Joshi ©
JAMES MOLIISON
Le
volume 1 a été publié en 2010, le volume
2 en 2023. Parmi ses ouvrages précédents figurent
Playground, des photographies de cours d’école où
les enfants jouent ; The Disciples, des portraits en
format panoramique de fans de musique photographiés avant
et après des concerts ; The Memory of Pablo Escobar,
l’histoire extraordinaire du gangster le plus riche
et le plus violent de l’histoire, racontée à
travers des centaines de photographies réunies par Mollison
; et James and Other Apes, des portraits type photo
d’identité de grands singes. Ses projets ont
été largement exposés dans des musées
et galeries à travers le monde. |
Joshi,
11 ans, Inde
© JAMES MOLIISON
ci-dessous
à gauche : Idira, 7 ans, Népal
© JAMES MOLIISON
ci-dessous
à droite : Yume, 13 ans, Japon
© JAMES MOLIISON
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La
Fondation Polygone
Créée
en 2020, la Fondation Polygone a pour objet, en France et à
l’étranger, de soutenir et de développer toute
œuvre ou projet d’intérêt général,
plus spécialement dans trois domaines : la protection du
monde qui nous entoure World, la transmission de la culture
et des savoirs Arts, et l’amélioration des
conditions de vie des femmes et des hommes People. La
fondation d’entreprise s’autorise à mener des
actions ou à soutenir des projets à caractère
philanthropiques, culturels, éducatifs, humanitaires ou
concourant à la défense de l’environnement
naturel, en agissant notamment comme l’outil de solidarité
collaborative du groupe Polygone / GL Events.
GL
events est un acteur majeur de l'événementiel, fondé
en 1978 à Lyon, et s'engage dans une démarche de
responsabilité sociétale d'entreprise (RSE), avec
des actions en faveur de l'inclusion, de la diversité et
de la transition écologique. GL events propose une offre
complète à travers trois divisions complémentaires
:
-
GL
events Live,
conception, production et logistique d'événements
: stands, structures, audiovisuel, énergie… ;
-
GL
events Venues, gestion d'un réseau de plus de
50 sites événementiels dans le monde : centres
de congrès, parcs d'expositions et salles multi-fonctionnelles
;
-
GL
events Exhibitions, organisation de salons professionnels
et grand public en France et à l'international.
à
gauche : La
chambre d'Idira ©
JAMES MOLIISON ; à droite
: La
chambre d'Yume ©
JAMES MOLIISON
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Jojakim
Cortis & Adrian Sonderreger
Ojakim
Cortis - né en 1978, Allemagne - et Adrian Sonderegger
- né en 1980, Suisse -, ont débuté leur collaboration
en 2006 à la Haute École d'Art de Zurich, en Suisse.
Leurs photographies ont été présentées
dans de nombreuses expositions à travers le monde, notamment
au MET de New York (États-Unis), au Musée Folkwang
d'Essen (Allemagne), à la Fondation suisse pour la photographie
(Suisse), au Festival de photographie de Lianzhou (Suisse), et
au C/O Berlin (Allemagne). Leur livre Double Take a été
publié en 2018 par Thames & Hudson (Grande-Bretagne),
Lars Müller Publisher (Suisse) et Seigensha (Japon).
©
JOJAKIM CORTIS & ADRIAN SONDERREGER
Dans
notre série photographique Icônes, nous
recréons depuis 2013 des icônes de l'histoire de
la photographie sous forme de dioramas tridimensionnels dans notre
studio. Les modèles sont ensuite photographiés.
Il en résulte des images qui ressemblent aux originaux
à la perfection. Icons est à la fois un hommage
à l’histoire de la photographie, une appropriation
humoristique de ses saints piliers et - dans la double mise en
scène du motif et de la situation de studio - une réflexion
sur les modes de fonctionnement du médium.
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©
JOJAKIM CORTIS & ADRIAN SONDERREGER
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JOJAKIM CORTIS & ADRIAN SONDERREGER
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Place
de la Concorde - Côté Madeleine : Juliette-Andréa
Élie x Fondation Avril [résidence artistique]
Arbres de vie : Nicolas Henry
x Nexira x ByArt [résidence artistique]
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Juliette-Andréa
Élie x Fondation Avril [résidence artistique] |
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© SANDRINE ELBERG

©
SANDRINE ELBERG |
Née
en 1985 en France, Juliette-Andréa est diplômée
de l’ESBANM (Nantes) et de la Concordia University (Montréal).
Après avoir vécu au Brésil plusieurs années,
elle travaille dans un atelier logement mis à disposition
de la Drac, à Auvers-sur-Oise. Plasticienne, Juliette-Andréa
Élie déploie un univers entre photographie et
dessin, questionnant la difficile représentation du paysage
contemporain, du territoire comme croisement des émotions
du Vivant. Ses images-objets sculptées à la pointe
sèche sont le fruit de superpositions de tirages photographiques
sur des papiers translucides, des miroirs, ou se dévoilent
sur de l’organza.
Son
travail a fait l’objet d’acquisitions publiques,
dont la Bibliothèque Nationale de France en 2023, suite
à l’exposition Epreuves de la matière,
la photographie contemporaines et ses métamorphoses.
Ses œuvres ont été également exposées
dans différentes foires ces dernières années,
comme Approche Paris : invitée par Emilia Genuardi en
2024, Photo Brussels, Paris Photo, Sao Paulo Photo et l’Aipad
New-York depuis 2016. La Ville de Paris a présenté
sa série Fire scapes lors de No(s) Futur(s),
une exposition de trois lauréates du Mentorat des Filles
de la Photo, à la Tour Saint-Jacques. En 2025, la photographe
est lauréate de la bourse Ronan Guillou, une recherche
menée avec des scientifiques sur les problématiques
entre l’humain et la mer.
L’année
dernière, l’historien de la photographie Michel
Poivert a intégré la pratique de Juliette-Andréa
Élie dans son essai Contreculture dans la photographie
contemporaine, aux éditions Textuel. Actuellement,
elle mène une commande photographique de la biennale
Photoclimat, qui documente des projets innovants en agriculture,
soutenus par la Fondation Avril, entre la France et le Togo.
La
Fondation Avril
La
Fondation Avril est une fondation reconnue d’utilité
publique créée en 2014 par le groupe Avril, acteur
majeur des filières agricoles et alimentaires françaises
(notamment connu pour ses marques comme Lesieur, Puget ou Sanders).Son
objectif est d’accompagner les transitions agricoles,
alimentaires et environnementales pour construire des modèles
plus durables, plus solidaires et plus respectueux des ressources
naturelles. La Fondation intervient autour de trois axes :Soutenir
l’agriculture durable, en favorisant des pratiques agroécologiques,
la protection de la biodiversité et l'adaptation au changement
climatique. Renforcer le lien entre agriculture et alimentation,
en valorisant des circuits courts, des produits locaux et une
alimentation plus responsable. Promouvoir le développement
des territoires ruraux, en soutenant l'insertion professionnelle,
l'entrepreneuriat rural et des initiatives sociales innovantes.
La Fondation Avril agit principalement en France, en accompagnant
des associations, des acteurs de terrain et des projets collectifs
qui répondent concrètement aux enjeux de durabilité
et de cohésion sociale. Son action est guidée
par une conviction forte : l’agriculture est au coeur
des solutions pour relever les défis écologiques,
économiques et sociaux d’aujourd’hui et de
demain. En Afrique, elle souhaite contribuer à son autonomie
en protéines, ce qui passe par un accompagnement actif
à la structuration des filières et un appui à
des initiatives agroécologiques favorisant la biodiversité
cultivée et la préservation des sols.
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Arbres
de vie : Nicolas Henry x Nexira x ByArt [résidence
artistique]
Né
en France en 1978, Nicolas Henry est diplômé des
Beaux Arts de Paris. Il a été formé dans
l'industrie du cinéma en tant que réalisateur à
l'Emily Carr Institute of Art and Design à Vancouver, Canada.
Parallèlement à une carrière d’éclairagiste
et de scénographe, il a parcouru le monde pendant trois
ans en tant que réalisateur pour le projet 6 milliards
d'autres de Yann Arthus-Bertrand, assurant la direction artistique
lors de l'exposition au grand Palais en 2009.
©
NICOLAS HENRY
Il
parcourt le monde afin de réaliser des portraits des ancêtres
du monde entier Les cabanes de nos grands parents (Éditions
Actes Sud), mélangeant installations plastiques et portraits
photographiques. Son nouveau livre sur les communautés
à travers le monde Contes imaginaires autour du monde
- World’s in the making sort en 2016, aux Éditions
Albin Michel, il reçoit le prix Méditerranée
du livre d’art 2017.
En
2019, il met en scène les 70 ans d’Emmaus, place
du palais Royal à Paris, puis en 2020 la place du Panthéon
accueille une installation monumentale pour les 20 ans de Lire
et faire. En 2021, il fonde Photoclimat, la biennale sociale et
environnementale de la Ville de Paris et du Grand Paris, présentant
les travaux de 40 ONG et de 30 artistes du monde entier.
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Nexira
Nexira
est une entreprise familiale française spécialisée
dans les ingrédients naturels pour l’alimentation,
la santé et la nutrition, avec une expertise historique
dans la gomme d’acacia. Présente sur ce marché
depuis plus d'un siècle, Nexira s'engage dans une démarche
de durabilité forte, en préservant les forêts
d’acacias du Sahel. La gomme est récoltée
sans abattre les arbres, favorisant la lutte contre la désertification,
la protection de la biodiversité et le stockage naturel
du carbone.
©
NICOLAS HENRY
Au-delà
de la simple production, Nexira soutient activement des projets
de reforestation, et accompagne les communautés locales
en garantissant des conditions de travail équitables, et
en développant des filières responsables. Son approche
allie ainsi innovation, respect des ressources naturelles, et
engagement social, dans une volonté de proposer des solutions
performantes, tout en contribuant positivement aux grands enjeux
environnementaux et sociétaux.
Dans
le cadre de la biennale, Nexira ouvre un nouveau chapitre des
Arbres de Vie. Dans son premier volet, Nexira a raconté
son engagement en Afrique pour préserver les acacias, les
baobabs et les balanites. Une action qui permet de redonner vie
à des régions entières, en protégeant
les arbres qui freinent l’avancée du désert,
tout en améliorant les conditions de vie des communautés
locales. Effectivement, des centaines de familles vivent directement
ou indirectement des revenus générés par
ces récoltes. Le cactus, par exemple, peut être récolté
et transformé tout au long de l’année, ce
qui constitue une source de revenus stable pour les agriculteurs.
Dans ce second volet Arbres de Vie, Nexira se tourne vers le bassin
méditerranéen.
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.Biennale
Photoclimat Un parcours d'expositions
photo en plein air
Nicolas
Henry et l’association Letourdunmonde lancent
la troisième édition de la Biennale
Photoclimat, du 12 septembre au 12 octobre 2025.
-
Il
s’agit de valoriser la mission et les plaidoyers
des associations d’intérêt
général et des fondations afin de
bousculer/créer des prises de conscience
pour encourager les dons, le bénévolat
et le recrutement des talents.
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Encourager
les artistes à s’engager et ainsi
élargir le champ de représentation
des causes portées.
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L’association Letourdunmonde
L’association
a pour but d’élaborer, produire et présenter
des projets artistiques engagés. Elle créée
des liens entre l’art, la sphère associative,
et les experts, en questionnant les grands enjeux sociétaux
à travers la création. Elle mène
des actions en direction du grand public, en décentralisant
l’art des espaces culturels traditionnels, le rendant
ainsi accessible à tou.s.tes.
La Biennale Photoclimat s’inscrit également
dans une économie circulaire forte. Les scénographies
uniques et éco conçues sont fabriquées
de manière modulable et mobile, permettant ainsi
la circulation des projets artistiques dans la France
entière, une fois la Biennale terminée.
photoclimat.com |
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