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Le Parc zoologique de Paris
fête les 10 ans de sa réouverture

(3) 10 projets de recherche et de conservation aux quatre coins du monde
7 projets de conservation, 7 espèces, 7 actions : à Madagascar, au Chili, en Guadeloupe, en
Patagonie
Une grande diversité de compétences

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Mieux structuré, le zoo a progressivement repris ses marques, au point de se réinstaller comme un lieu d’émerveillement, à la découverte de la faune et de la flore du monde entier, mais surtout comme un lieu de conservation. Une originalité fondée sur une approche différente dans la présentation des espèces, davantage centrée sur l’animal et son intégration dans son milieu naturel d’origine. Il sonnait comme une évidence
de dédier ce 10e anniversaire à notre activité centrale de conservation. Face au déclin de la biodiversité, il est urgent d’agir pour réduire les menaces qui pèsent sur la nature et ses occupants. Dans ce contexte de crise du vivant, nous avons la conviction que les zoos ont un rôle à jouer. D’une part, ils contribuent à sensibiliser les publics, et notamment les nouvelles générations, à cet enjeu crucial de préservation ;
d’autre part, ils sont devenus des acteurs de la conservation des espèces animales, dans le cadre d’échanges de données
et d’animaux au niveau international.
Gilles Bloch, Président du Muséum national d’Histoire naturelle

10 projets de recherche et de conservation aux quatre coins du monde

La saison 2024 met en lumière le rôle du Parc zoologique pour la protection des espèces menacées. Une dizaine de projets sont en cours de développement dans les 5 biozones du parc. Ils illustrent l’engagement scientifique puissant et original du zoo du Muséum, en termes de recherche et conservation. Si le zoo émerveille, il a aussi la force d’action d’une institution pluricentenaire, détentrice d’une solide expertise scientifique et d’importantes capacités de recherche.

 

7 projets de conservation, 7 espèces, 7 actions : à Madagascar, au Chili, en Guadeloupe, en Patagonie

Étudier l’écologie des amphibiens et des caméléons à Madagascar

Sur l’île de Madagascar, la petite réserve naturelle de Vohimana*, avec sa faune et sa flore endémiques, est un hotspot de la biodiversité. On y trouve notamment un petit amphibien de quelques centimètres : la Mantelle de Baron, ainsi que de nombreuses espèces de caméléons.

Une compréhension fine du niveau de menace qui pèse sur ces espèces nécessite d’étudier leur mode de vie dans la nature. En collaboration avec les personnels de la réserve, avec des étudiants de l’Université d’Antananarivo, et d’autres collaborateurs extérieurs comme l’association suisse Caméléon Center Conservation, des projets de recherche ont été initiés par Olivier Marquis, biologiste, curateur au PZP. Ils ont permis d’étudier l’habitat et le comportement de la Mantelle de Baron, ou encore de décrire les préférences microclimatiques de l’ensemble des espèces de caméléons vivant dans la réserve, soit une douzaine d’espèces au total, du plus petit - 3 cm tout compris -, au plus gros, le caméléon de Parson : 40 cm sans la queue.

Ces études sont réalisées grâce à la collaboration des guides de la réserve, dont la connaissance du milieu est indispensable. Ils sont financés plusieurs mois de l’année pour collecter des données de terrain. Comprendre le mode de vie de ces espèces, encore jamais étudiées dans la nature, permet d’acquérir des données essentielles à la compréhension de la fragilité du lien de ces animaux avec leur milieu naturel. Toutes ces données pourront bénéficier dans le futur à des mesures de conservation in situ, et aussi apporter des éléments indispensables à l’amélioration des conditions d’élevage ex situ en cas de nécessité. En projet : le suivi par radio pistage de quelques individus caméléon de Parson.

* La réserve de Vohimana (vohimana.com) est gérée par une ONG qui pratique l’écotourisme,
pour faire découvrir lémuriens, caméléons, oiseaux, dans un milieu forestier humide.

Caméléon © MNHN - F.-G. Grandin

 


Propithèque couronné © MNHN - F.-G. Grandin

Protéger les propithèques couronnés en collaboration avec Impact Madagascar

Le propithèque couronné, espèce endémique de Madagascar, est en danger critique selon l’UICN, en raison de la destruction du couvert forestier. Le PZP fut le premier zoo à en élever, Sylvie Laidebeure, vétérinaire au parc, est coordinatrice de l’EEP de cette espèce, qui n’est représentée que par une vingtaine d’individus dans 6 parcs zoologiques, dont un couple dans la biozone Madagascar. Le zoo participe également à la sauvegarde de l’espèce en supportant* depuis 2014 l’association Impact Madagascar, ex Sifaka* Conservation. Elle agit essentiellement auprès des populations locales, les aident par du microcrédit, le développement de méthodes de cultures alternatives afin de ne pas détruire la forêt et préserver ainsi l’habitat naturel des propithèques.

* Soutien financier à hauteur de 20 000 €, en partie financé par le parrainage.
* Le terme Sifakas fait référence au sifflet retentissant que le propithèque émet pour signaler la présence d’un prédateur aux autres membres d’un groupe.


Lamantin © MNHN - E. Blanc

Favoriser la réintroduction du lamantin en Guadeloupe

Lors de la réouverture en 2014, le PZP accueillait, pour la première fois, un lamantin, le plus gros des mammifères d’eau douce. Tinus est aujourd’hui le plus vieux des lamantins en captivité, il a été rejoint par Husar en 2016, et Kaï en 2018, ce dernier ayant été retransféré à la suite de l’échec d’une tentative de réintroduction en Guadeloupe. Le Parc a ainsi acquis une expertise, et peut jouer un rôle facilitateur. L’objectif étant de favoriser le dialogue avec les autorités et les populations locales, qui voient à tort dans le lamantin - pourtant végétarien - une menace pour la pêche. L’arrivée, au printemps 2024, d’une femelle lamantin permettra d’envisager de futures naissances et de reprendre, à long terme, le projet de réintroduction dans le cadre d’un programme d’élevage. La femelle ne donne naissance qu’à un seul petit après une gestation de plus d’un an, tous les 4 ou 5 ans.


Grand hapalémur © MNHN - F.-G. Grandin

Protéger le grand hapalémur avec l’association Helpsimus

Le grand hapalémur, lémurien de l’île de Madagascar, est en danger critique d’extinction, la population sauvage est estimée à 1 000 individus. L’espèce est bien connue du zoo, qui abrite un groupe 6 individus, dont plusieurs femelles nées au parc. Le zoo participe à un programme d’élevage et contribue à la conservation in situ, en soutenant financièrement les actions de l’association Helpsimus*, qui réalise un travail d’inventaire sur le terrain, de suivi scientifique de l’espèce, de protection de son habitat, d’aide au développement des villages riverains des groupes de grands hapalémurs, et de programmes d’éducation. L’aide contribue également à la préservation d’autres espèces, notamment les microcèbes, espèce non présente au zoo.

* L’Association Française pour la Sauvegarde du Grand Hapalémur, ou Helpsimus, a été créée en octobre 2009. helpsimus.org


Guanaco © MNHN - F.-G. Grandin

Limiter l’hybridation du Guanaco
et du Lama au Chili

La biozone Patagonie abrite un groupe de 3 femelles guanacos, des camélidés sauvages. Au Chili, cette espèce est menacée de pollution génétique par hybridation naturelle avec des lamas domestiques. Afin de préserver les guanacos sauvages en évitant leur disparition, il importe de limiter la reproduction des hybrides en les stérilisant, tout en conservant le troupeau existant qui contribue au débroussaillage autour de Santiago, limitant ainsi le risque de feux de forêts. La mission de stérilisation consisterait à repérer les hybrides, les stériliser, réaliser des prélèvements génétiques et les relâcher.


Fossa © MNHN - F.-G. Grandin

Mieux suivre les fossas dans leur milieu naturel, à Madagascar

Les fossas, animaux nocturnes vivant dans la forêt, sont très difficiles à observer. De 2014 jusqu’en 2021, le PZP participait au Fossa Fund qui finançait des recherches sur le terrain. En 2021 une aide plus directe s’est mise en place avec une chercheuse du Max Planck Institute* qui travaille sur le terrain 6 mois de l’année et observe l’interaction entre les fossas - prédateurs - et les propithèques de Verreaux : proies. Afin d’analyser les comportements de chasse des fossas, selon leurs déplacements, certains étaient équipés de colliers GPS. Le PZP a contribué à améliorer cet outil technologique de suivi avec son couple de fossas, équipé pendant quelques jours, en 2022, de colliers GPS munis d’accéléromètres. Des étudiants ont suivi leurs mouvements pour mettre en phase les données collectées par le collier, et les données filmées en temps réel. Le projet se poursuit actuellement, le PZP ayant été un des seuls zoos européens à avoir eu une naissance de fossas en 2023. Il réalise ainsi les suivis de croissance des 4 bébés de la femelle Zanahary, arrivée en 2016. Ces données, recueillies en captivité, constituent des informations précieuses pour déterminer l’âge des sujets sur le terrain.


Puma © MNHN - F.-G. Grandin

Mesurer le stress des pumas face à la présence humaine

L’objectif de cette étude est d’analyser l’impact de la présence de visiteurs dans la magnifique réserve de Torres Del Paine en Patagonie, sur le stress des populations de pumas sauvages. À cette fin, les scientifiques prélèvent des selles de pumas sauvages, à différentes périodes de l’année, afin d’effectuer un dosage hormonal de cortisol permettant de quantifier leur niveau de stress. En collaboration avec le zoo de Toronto et son laboratoire d’endocrinologie, le PZP participe au projet en évaluant le niveau de stress de façon non invasive sur son groupe de 4 pumas. Grâce à l’entraînement médical, les prises de sang des pumas du Parc sont effectuées sans sédation des animaux, donc sans stress. En parallèle, des selles de ces mêmes pumas sont prélevées à différents moments, afin d’établir des grilles de corrélation entre la quantité de cortisol présent dans les selles et dans le sang. Des données qui serviront aux études de terrain.

Une grande diversité de compétences

Pour gérer plus de 3 000 animaux, les nourrir et les soigner, pour veiller sur leur environnement, sur les végétaux mais aussi pour accueillir et accompagner les visiteurs, assurer la sécurité du site, le nettoyage, la restauration, la boutique, les tâches administratives et comptables, une équipe d’une centaine d’agents est mobilisée au quotidien.

Les soigneurs, les sentinelles

Les soigneurs - une équipe comptant une cinquantaine de membres - veillent sur les animaux, les observent, les nourrissent et les entraînent. Vigiles attentifs, ils remarquent les changements de comportements, signalent les problèmes de santé et éprouvent la sécurité, la facilité d’accès des structures. Toutes les informations qu’ils collectent sont précieuses. Les soigneurs sont organisés en 4 secteurs : Patagonie, Afrique, secteur ORA - oiseaux, reptiles, amphibiens - et la Serre : Guyane, Madagascar ; un découpage qui permet de rationaliser le travail au regard de la cohérence géographique, de la cohérence des espèces et de la technicité des tâches.

Noémie Gillet, Adjointe au chef d’équipe soigneur, en charge du secteur Afrique

Arrivée au PZP en 2016, Noémie Gillet a passé une saison en Patagonie, un an chez les oiseaux, reptiles et amphibiens, avant de se consacrer aux animaux de la savane africaine : girafes, autruches, grues, gazelles, et koudous. Être voltigeur en début de carrière permet de mieux connaître ses affinités. J’aime le travail avec les girafes, elles sont douces et calmes, mais d’un naturel anxieux, facilement stressées par tout changement dans leur environnement. Il faut être patient et ne jamais les surprendre.
Les journées de travail se partagent entre le nourrissage, plusieurs fois par jour, le nettoyage des espaces de vie intérieurs et extérieurs, et les séances d’entraînement. La désensibilisation à la présence humaine est la première étape, on habitue l’animal, notamment les girafes dans leur couloir de contention, aux gestes de soins, à la vue et au bruit du matériel médical. Chaque animal réagit à sa façon, et il suffit d’un rien pour perdre des comportements que l’on croyait acquis. La patience et la répétition sont essentielles. Notre satisfaction, c’est de constater que l’animal a confiance : les koudous se laissent désormais nourrir à la main.

Bastien Servières, Chef d’équipe soigneur, en charge du secteur Patagonie

Bastien Servières est au PZP depuis 2013, responsable d’une équipe de 10 personnes, dont 7 sont des soigneurs plongeurs, car le secteur Patagonie accueille notamment des espèces qui vivent en milieu aquatique.
Pour plonger dans le bassin des placides lamantins et de leurs compagnons poissons, ou encore dans celui des otaries, afin de nettoyer les vitres qui permettent au public d’admirer leur nage, il faut être un plongeur scaphandrier et avoir une bonne condition physique. Avant de nettoyer et de nourrir, notre travail, comme le précise Bastien Servières, c’est d’abord de vérifier si tout le monde va bien. La connaissance des animaux dont nous avons la charge nous permet de décrypter les moindres signaux. Lorsque des soins sont nécessaires, l’entraînement médical, réalisé en amont, facilite le travail des vétérinaires, permet d’établir plus rapidement le diagnostic. Notre rôle c’est aussi, lors des animations, de diffuser le savoir, de répondre aux questions du public, de proposer non pas du spectacle, mais des exercices de valorisation de l’espèce.


Entraînement médical d’un lamantin © MNHN - F.-G. Grandin

Olivier Marquis, Docteur en biologie, gestionnaire de la collection de reptiles, amphibiens et arthropodes : insectes et arachnides

Arrivé au PZP en août 2013, en pleine période de préouverture, Olivier Marquis eut pour tâche de constituer une collection qui n’était que sporadiquement présente dans l’ancien zoo. L’objectif était d’évoquer tous les aspects de la biodiversité dans les biozones Europe, Amazonie-Guyane et Madagascar. Son travail comprend quatre volets : le soutien zootechnique, la gestion de collection, l’expertise, et la recherche, qui nécessitent une approche scientifique et une ouverture à l’international. Comme le précise Olivier Marquis : J’assure une veille bibliographique et participe à un réseau professionnel international afin de rester à jour en termes de connaissances biologiques et techniques. Des connaissances que je partage avec l’équipe des soigneurs. La gestion d’une collection consiste à dynamiser la liste des espèces présentées au PZP en trouvant de nouvelles espèces ou de nouveaux individus ou en en faisant partir d’autres avec la collaboration de la registraire du zoo. La spécialité d’Olivier Marquis lui permet d’assurer différentes missions d’expertise pour le compte du Muséum : identification d’espèces, formation, intervention dans différentes commission nationales ou départementales, consultation pour des projets extérieurs au zoo… Enfin, concernant la participation aux activités de recherche et de conservation, il peut être aussi bien concepteur de projets que collaborateur dans des projets préexistants. Ces projets peuvent se dérouler en captivité - au sein du PZP ou non - sur des thématiques de recherche appliquée ou fondamentale, ou sur le terrain pour l’étude des animaux dans leur environnement naturel, afin de participer à leur connaissance et à leur protection.

Marlène Itan Responsable des espaces verts

Une équipe de 7 jardiniers est en charge de l’entretien des végétaux le long du parcours, dans la serre, les différents enclos et volières. Marlène Itan travaille au Parc depuis 8 ans : Tous les matins, les jardiniers font un tour de propreté dans les allées, chacun est en charge d’une zone et réalise les travaux d’entretien nécessaires selon les saisons : ramassage des feuilles, taille, arrosage. Les 3 semaines de fermeture du parc en janvier sont propices à des interventions plus complexes, notamment l’élagage, en extérieur tous les 2 ans, confié à une société extérieure spécialisée. Les grands végétaux de la serre ont si bien poussé qu’un élagage est nécessaire 2 fois par an. Le végétal participe de l’identité du parc, les jardiniers disposent d’un plan de gestion, élaboré à la création en 2014. Ainsi, ils veillent, lors du remplacement de certains végétaux, à respecter les espèces évoquant les milieux naturels des différentes biozones.

 


Olivier Marquis © MNHN - F.-G. Grandin

Visiteurs dans la serre © MNHN - F.-G. Grandin

La recherche en parc zoologique est de la recherche appliquée, l’espèce est le véritable centre d’intérêt. Olivier Marquis,
Docteur en biologie
 


Jardinier arrosant la serre
© MNHN - M. Descombes

 

Laure Pacchiani, Responsable de l’accueil, des services et de la relation clients

L’accueil du public, comme l’explique Laure Pacchiani, est affaire de vigilance : Il s’agit de garantir l’expérience de visite, avant, pendant, et après ; de s’assurer du bon fonctionnement de tous les services : billetterie, restauration, boutique, de diffuser l’information au bon endroit et au bon moment : plan papier, horaires des animations, présence des agents qui renseignent et orientent. Mieux le public est informé, meilleure sera sa visite. Notre objectif est de maintenir le niveau de service et d’entretenir l’attractivité : les naissances, la présentation de nouveaux animaux et l’événementiel sont des leviers essentiels. Il est un impondérable contre lequel le service ne peut rien : la météo, qui joue un rôle majeur sur la fréquentation, même si le billet d’entrée réservé à l’avance est valable plusieurs mois.

Sylvie Laidebeure, Vétérinaire

Sylvie Laidebeure a commencé sa carrière au zoo en mai 2004. Elle a participé au projet de rénovation, assisté au départ des animaux, à l’accueil et l’installation des nouveaux. Aujourd’hui, l’équipe des soignants compte 3 vétérinaires titulaires, dont un résident en formation, ainsi que 2 assistants. Le quotidien est rythmé chaque matin par les retours des soigneurs des quatre secteurs animaliers qui font remonter les informations sur les animaux dont ils ont la charge. Indépendamment des interventions programmées, nous intervenons selon la gravité des problèmes, toujours en évaluant le bénéfice risque. Il est parfois préférable de laisser faire la nature sur une petite plaie ou une boiterie, par exemple chez les babouins, pour ne pas perturber le groupe.
Sylvie Laidebeure est par ailleurs coordonnatrice de l’EEP du propithèque couronné, et est référente, au sein du PZP, en matière de bien-être animal.


Équipe vétérinaire en intervention. De gauche à droite : Sylvie Laidebeure, Alexis Lécu,
Pierre Huberdeau (vétérinaires), Jennifer Monteiro (ASV) © MNHN - F.-G. Grandin

Le végétal est bien en place, il s’est densifié. Aujourd’hui les visiteurs y accordent plus d’intérêt, le respectent davantage et pour satisfaire leur curiosité, nous positionnons des cartels botaniques, notamment dans la serre. Marlène Itan

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Le Parc zoologique de Paris fête les 10 ans de sa réouverture

................10 projets de recherche et conservation
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.................Le Parc zoologique de Paris fête en 2024 le 10ème anniversaire de sa réouverture ! Au cours de cette période de renaissance, et au prix d’une .................mobilisation de tous les instants, nos équipes se sont efforcées de redonner vie à ce site longtemps fermé au public.

.................Gilles Bloch, Président du MnHn
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Au programme 2024

La thématique de saison 10 projets de recherche et conservation se décline dans toute l’offre : événements, médiation et informations sur le parcours. Parcours de visite : Depuis le 31 mars, et pour toute la saison, les actions de conservation sont valorisées le long du parcours : par des panneaux dédiés aux 10 projets, par une exposition dans le petit Chalet et le kiosque pédagogique dédié. Les cartes blanches : Des rencontres avec des chercheurs ou des soigneurs, pour en savoir plus
sur les projets de conservation. Et aussi :
des dimanches au zoo : pour les bébés, les enfants, les familles ;
des visites guidées pendant les vacances scolaires de la zone C.

Des événements :

  • Fête de la nature, les 25 et 26 mai : activités gratuites sur la Route de la ceinture du lac.
  • Nocturnes, du 27 juin au 25 juillet : les jeudis à partir de 19h, et deux soirées spéciales Silent Zoo, pour danser et écouter de la musique de manière silencieuse dans un casque, les 27 juin et 18 juillet.
  • Paris Zoo Run, le 22 septembre, le jour du Rhino Day, une course unique qui associe exercice physique et défense des espèces : 5 km en marchant ou en courant, et 10 km en courant pour les plus de 13 ans.
  • Journée Frissons, le 31 octobre, à l’occasion d’Halloween.
  • Et le traditionnel Noël au zoo, aux vacances de Noël.

Infos pratiques

Tarifs

Adulte : 22 € - Tarif réduit : 17 € - Enfants : 17 €
Forfait tribu : 68 € (2 adultes et 2 enfants)
Pass annuel Museum en illimité : 65 € / 35 € et de nombreux avantages.

parczoologiquedeparis.fr

 

Se rendre au Parc Zoologique de Paris :

Parc Zoologique de Paris
Angle Avenue Daumesnil et Route de la ceinture du Lac, Paris (XIIe)
Métro ligne 8 et tramway T3 : station Porte Dorée
Bus : 46, 86, 325 et 201 : arrêt Parc Zoologique