L’étude porte sur une identification de sites qu’il
conviendrait de végétaliser au regard de critères
: morphologiques et historiques ; liés
au développement des corridors écologiques, de réduction
de l’effet de l’îlot de chaleur et de réduction
des zones de carence en végétation ; urbains de centralités
et des équipements ; d’opportunité : projets engagés
sur les portes de Paris, le Boulevard périphérique et la
Ceinture verte, les bords de Seine, les axes vélo et les infrastructures
en sous-sol. Ces évolutions vont transformer durablement les pratiques
et
les aménagements de l’espace public parisien, et cette étude
pourra être un socle commun pour nourrir les échanges et
choix à venir.
La Ville de Paris s’est fixée, à travers ses différents
plans, les objectifs d’atteindre 40 % de son territoire
perméables et végétalisés d’ici 2040,
et d’augmenter de 2 % l’indice de canopée d’ici
2030.
Les
enjeux écologiques et de biodiversité |
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Préserver
les espaces à enjeux écologiques et de biodiversité
et améliorer leur cohérence sur le territoire
francilien en restaurant ou en créant des continuités
écologiques sont des objectifs ambitieux et essentiels.
La
Ville de Paris s’est ainsi engagée lors du Conseil
de Paris de février 2013 à mettre en œuvre
le Schéma Régional de Cohérence Écologique
d’Île-de-France, adopté le 21 octobre 2013,
à travers la préservation des grandes continuités
écologiques de son territoire : Ceinture verte, Petite
Ceinture ferroviaire, Seine, canaux et bois parisiens. Sa déclinaison
locale, la Trame verte et bleue de Paris, se structure actuellement
sur le territoire parisien.
Les
espaces verts - bois, parcs, jardins, cimetières, friches
-, les milieux aquatiques - Seine, canaux, lacs, étangs,
mares, bassins -, les voies de communication - berges de la
Seine, voies ferrées, tunnels, rues, trottoirs - et le
bâti - façades, toitures, murs - participent au
maillage du territoire et au maintien des continuités
écologiques jusqu’au cœur de la ville dense.
Comme
le souligne l’action 20 du plan biodiversité 2018-2024,
l’enjeu de renforcement du maillage écologique
de Paris implique d’accentuer la végétalisation
de l’espace public, qui recèle des potentialités
importantes en matière de continuités, partout
où cela est possible au regard des contraintes techniques,
de nettoiement et de gestion.
À
ce titre, nous analyserons ici 3 types de voies pouvant renforcer
les corridors urbains de biodiversité :
-
les voies identifiées en tant que corridors urbains
de biodiversité dans le schéma des trames vertes
et bleues parisien ;
-
les autres voies plantées de plus de 19 m de large
;
-
les voies non plantées de plus de 19 m de large.
L’étude
des enjeux de continuité écologique des voies
de plus de 19 m est complétée par une analyse
de l’ensemble des voies de 11 à 19 m de large.
Ces voies, qui représentent 1/3 du linéaire des
voies parisiennes, peuvent contribuer à la mise en réseau
de voies structurantes dans le cas de grands tracés telles
que les voies royales ou les rues de faubourgs. Elles peuvent
également contribuer à la fonctionnalité
et la mise en réseau des continuités en pas japonais,
dans des rues locales situées à proximité
des espaces verts publics et privés, ainsi que des écoles.
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©
Apur
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16
% de la surface de Paris est qualifiée
en Réservoirs Urbains de Biodiversité. |
Extrait
des Chemins de la Nature,
carte annexée au Plan Biodiversité
validé en mars 2019 |
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115
km de corridors urbains de biodiversité
sur voirie |
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Des
corridors urbains de biodiversité à conforter |
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Promenade plantée sur le boulevard
de Clichy (IXe), corridor de biodiversité secondaire
©
Apur
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Bien
que le territoire parisien soit quasiment entièrement artificialisé,
16 % de la surface de Paris est qualifiée en Réservoirs
Urbains de Biodiversité. Ces réservoirs, dont font
notamment partie les bois de Vincennes et de Boulogne, sont les
principaux espaces sources de biodiversité dans Paris,
et ils doivent s’inscrire dans une continuité écologique
afin d’éviter que les milieux qui les composent ne
s’appauvrissent. En effet, faute de pouvoir circuler et
renouveler leur patrimoine génétique, les populations
de plantes et d’animaux s’affaiblissent et résistent
moins aux pollutions et au changement climatique. Ceci est d’autant
plus important à Paris, où les espèces qui
composent la biodiversité présentent des populations
souvent réduites, parfois en déclin, et qui se maintiennent
avec difficulté dans des espaces restreints. L’étude
des trames verte et bleue de Paris a abouti à la publication
des Chemins de la Nature - État des lieux en 2018.
Cette publication de la Ville de Paris comprend la carte des réservoirs
de biodiversité constituée par les espaces verts
parisiens de plus d’un hectare qui permettent à la
biodiversité de se développer de manière
plus ou moins durable. Ils sont qualifiés selon 3 catégories
: réservoirs urbains de biodiversité fonctionnels,
réservoirs urbains de biodiversité secondaires et
espaces relais.
Cette carte intègre également les grandes continuités
écologiques, comme les voies plantées, la Petite
Ceinture ferroviaire, les canaux parisiens, les aqueducs gérés
par Eau de Paris et les liaisons avec les communes riveraines.
Ces corridors linéaires ont été identifiés
et qualifiés du point de vue du piéton, en recherchant
les axes végétalisés ou aquatiques reliant
entre eux les réservoirs. Ce sont ainsi 180 km de corridors
urbains de biodiversité identifiés dans la capitale.
Ces corridors empruntent à 64 % (115 km) des voies plantées,
qui ont la particularité d’être exclusivement
des voies de plus de 19 m de large, et à 36 % (65 km) les
faisceaux ferrés, la petite ceinture et les berges de Seine
et des canaux. La Seine et ses berges constituent un ensemble
écologique identifié au niveau national. Les canaux
parisiens relient le nord-est de la capitale aux territoires voisins.
Leur requalification en cours - végétalisation,
habitats - renforcera leur rôle. La voie ferrée de
Petite Ceinture compte parmi les corridors les plus fonctionnels
de la capitale, reliant quelques-uns des plus grands parcs parisiens.
Les
corridors urbains de biodiversité sont qualifiés
de favorables à 38 % (68 km), secondaires à 21 %
(38 km) et potentiels à 41 % (75 km).
Un corridor favorable est un linéaire possédant,
dans sa structure et son architecture végétale,
les qualités nécessaires pour assurer les mouvements
de la faune et de la flore d’un réservoir de biodiversité
à un autre. Les 5 corridors favorables sur voirie sont
l’avenue Foch (XVIe), le boulevard de Montmorency (XVIe),
le boulevard Péreire (XVIIe), l’avenue de l’Observatoire
(XIVe) et la rue Vercingétorix (XIVe).
Un
corridor secondaire est un linéaire plus ou moins continu
composé d’un minimum de deux sous-trames - arborée,
arbustive, herbacée ou minérale - dont certains
éléments sont encore à améliorer pour
atteindre un niveau de fonctionnalité supérieur.
Les 25 corridors secondaires sur voirie sont le boulevard Bourdon
(IVe), le boulevard de Port Royal (Ve), le boulevard Arago (Ve),
le boulevard Saint-Marcel (Ve), le boulevard de l’Hôpital
(Ve) partiellement, l’avenue de Lowendal et l’avenue
de Saxe (VIIe), l’avenue de Breteuil (VIIe), le boulevard
Pasteur (VIIe), le boulevard de Clichy (IXe, XVIIIe), l’avenue
Parmentier (XIe) partiellement, l’avenue Daumesnil (XIIe)
partiellement, le cours de Vincennes (XIIe), le boulevard Vincent
Auriol (XIIIe), l’avenue de Choisy (XIIIe) partiellement,
le boulevard Saint-Jacques (XIVe) et le boulevard Auguste Blanqui
(XIIIe), l’avenue René Coty (XIVe), l’avenue
Georges Mandel et l’avenue Henri Martin (XVIe), le boulevard
Flandrin (XVIe), le boulevard Exelmans (XVIe), l’allée
Darius Milhaud (XIXe), l’avenue Jean Jaurès (XIXe),
et la rue Sorbier (XXe).
Un
corridor potentiel est un linéaire plus ou moins continu
dont la diversité des sous-trames est généralement
réduite à une seule, et dont les aménagements
en faveur de la biodiversité sont à renforcer pour
atteindre une qualité écologique supérieure.
Les 39 corridors potentiels sur voirie sont notamment le boulevard
Saint-Germain (VIIe), le boulevard Voltaire (XIe), le boulevard
Bonne Nouvelle (Xe) et le boulevard Raspail (VIe, XIVe). |
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Bd Pereire
(XVIIe), corridor favorable ©
Apur |
R. Vercingétorix
(XIVe), corridor favorable ©
Apur |
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Bd
Arago (XIVe),
corridor secondaire ©
Apur |
Av. Pt
Wilson (XVIe), corridor secondaire ©
Apur |
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Bd Voltaire
(XIe), corridor potentiel ©
Apur |
Bd Beaumarchais
(XIe), corridor potentiel ©
Apur |
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Renforcer
la fonctionnalité des corridors urbains de biodiversité |
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Ces
trames vertes et bleues sont à renforcer partout à
Paris. Cela consiste à augmenter le nombre de réservoirs
de biodiversité et de corridors urbains en poursuivant
la qualification écologique du territoire parisien d’une
part, et en créant de nouveaux espaces de biodiversité
terrestres et aquatiques d’autre part.
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Corridors de biodiversité et centralités
urbaines Source
: Apur, DEVE
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L’attention
devra être portée en particulier sur la réduction
des fragmentations liées à la voirie, en créant
des continuités écologiques : promenades plantées
favorables à la biodiversité sur l’espace
public - contre-allées, terre-pleins centraux, réaménagement
des places -, en cohérence avec les moyens de gestion disponibles.
Il s’agira également d’améliorer la
perméabilité en diversifiant les trames - strates
arborées/arbustives/herbacée -, et les essences
et espèces végégétales : arbres fruitiers,
plantes nectarifères, arbustes à baies…
L’ensemble
de ces corridors a fait l’objet d’une description
fine de ces composantes et en particulier de la qualité
et de la continuité des différentes sous-trames
qui les composent par l’agence d’écologie urbaine
de la Ville.
Il
en ressort que les 115 km de corridors de biodiversité
identifiés sur la voirie parisienne comprennent :
-
100 km de sous trame arboré - 87 % des corridors -,
continue sur 83 % de son linéaire (83 km) et moyennement
continue sur 17 km ;
-
22,5 km de sous-trame arbustive - 20 % des corridors -, continue
sur 42 % de son linéaire ;
-
22,8 km de sous-trame herbacée - 20 % des corridors
-, continue sur 59 % de son linéaire.
Ces
informations, d’une très grande qualité, méritent
d’être affinées au regard de la pression urbaine
exercée sur ces corridors, afin de juger du potentiel renforcement
de leur fonctionnalité écologique et des formes
de végétalisation à développer.
Pour
apprécier cette pression urbaine, nous nous sommes reportés
à la cartographie des centralités urbaines établie
par l’Apur. Il ressort de cette analyse que, sur les 115
km de corridors urbains de biodiversité établis
sur la voirie parisienne, 56 % se situent dans des secteurs de
centralités urbaines. Ce sont :
-
28 km de corridors dans des secteurs de centralité globale
d’échelle métropolitaine ;
-
14 km dans des centralités locales de quartier ;
-
et 22 km dans des centralités mixtes.
Ces
situations de centralités induisent de très fortes
contraintes pour le développement de la végétation
sur les trottoirs : piétinement, détritus, nettoiement,
imperméabilisation, pollution lumineuse…
Sur les corridors inscrits dans des centralités urbaines,
des actions de préservation et d’apaisement des pressions
devront être menées. Les corridors situés
hors centralités devraient faire l’objet de plantations
denses et diversifiées pour assurer une fonctionnalité
optimale.
L’enjeu
de renforcement de la fonctionnalité des corridors écologiques
est un enjeu qui doit être vu de pair avec l’enjeu
de reconstituer la qualité et l’ampleur des promenades
de Paris, dont Alphand disait déjà qu’elles
permettaient de renouveler l’air vicié d’une
grande cité, […] et de procurer l’ombre,
si nécessaire au nombreux public qui circule sur les voies
magistrales de Paris. |
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Avenue
des Gobelins (XIIIe), corridor secondaire en centralité mixte
©
Apur |
Rue
Ordener (XVIIIe), corridor potentiel dans une centralité
locale ©
Apur |
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Boulevard
de Belleville (XIXe), corridor qualifié de potentiel
dans une centralité, dont la qualité écologique
est à renforcer ©
Apur
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Bd
de Belleville (XIXe), corridor potentiel dans une centralité,
dont la qualité écologique est renforcée par
des aménagements récents ©
Apur |
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Étendre
le maillage des corridors urbains de biodiversité à
Paris |
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Bd Masséna
(XIIIe), mail de platanes le long du tramway ©
Apur |
Rue Crozatier
(XIIe), aménagements récents, favorables à
la biodiversité ©
Apur |
Les
voies de plus de 19 m de large, un potentiel riche pour les
continuités de biodiversité
Pour
assurer le maintien et le renforcement de la biodiversité
à Paris et dans la zone urbaine dense, le maillage des
corridors urbains de biodiversité doit pouvoir s’étendre
à l’ensemble des voies de plus de 19 m de large
- qu’elles soient aujourd’hui plantées ou
non -, et être complété en mobilisant le
potentiel des anciennes voies royales et rues de faubourg.
Ainsi, il est important de pouvoir travailler à l’inscription
de l’ensemble des voies larges et plantées dans
le schéma des trames vertes et bleues parisiennes :
-
les 115 km de corridors urbains de biodiversité représentent
16 % de l’ensemble des voies plantées de plus
de 19 m de large (508 km) ;
-
les 393 km non-inscrits dans ce schéma des trames vertes
et bleues offrent un potentiel pour étendre considérablement
la perméabilité du tissu urbain dense, en renforçant
la continuité arborée, la diversité des
strates végétales et la qualité écologique
de ces axes : sol perméable, présence de nichoirs…
44
% de ce linéaire se trouvent dans des secteurs de centralités
urbaines. Ces voies devraient faire l’objet d’une
attention particulière pour renforcer leur fonctionnalité
écologique et assurer la continuité et la qualité
des fonctions urbaines qu’elles accueillent, notamment
par la réactualisation ponctuelle du bâti et des
pieds de façade. Les voies hors de centralités
urbaines - 66 % du linéaire - bénéficient
d’une intensité d’usages moindre sur leurs
trottoirs. La désimperméabilisation des pieds
d’arbres et le développement d’une végétation
adaptée permettra d’assurer la parfaite fonctionnalité
écologique de ces voies.
Parmi
les axes qu’il semble important de pouvoir analyser, notons
:
-
l’axe Convention-Alésia-Tolbiac au sud ;
-
les rues E. Zola, Saint Charles et Félix. Faure (XVe)
;
-
les avenues Mozart, Victor Hugo et Poincaré dans le
XVIe arrondissement ;
-
les avenues Ternes, Wagram et Clichy dans le XVIIe arrondissement
;
-
les voies Parmentier, Ledru-Rollin et Diderot dans l’est
parisien ;
-
ainsi que le prolongement du boulevard de l’Hôpital
par la rue Bobillot dans le XIIIe arrondissement.
L’ensemble
des 215 km de voies de plus de 19 m de large non plantées
offrent un complément potentiel de maillage écologique
à travers le tissu urbain dense de Paris.
Ces voies pourraient être végétalisées
pour compléter le maillage des corridors et la connectivité
des réservoirs, partout où cela est possible.
70 % d’entre elles sont situées dans des centralités
urbaines. Ces voies devraient être analysées au
regard du potentiel de liaison écologique qu’elles
pourraient offrir ou mailler si elles étaient végétalisées.
Les 30 % des voies larges situées hors centralité,
devraient pouvoir devenir à court terme des corridors
écologiques fonctionnels, intégrant des alignements
d’arbres de grand développement, ainsi que l’ensemble
des strates végétales sur des surfaces larges
et continues, dans des dispositifs adaptés au contexte
urbain : portes cochères, arrêts de bus, collecte
des déchets ménagers…
La transformation du paysage de ces rues, aujourd’hui
largement ouvertes sur le ciel et vers des points de vue pouvant
être lointains ou remarquables, devra être prise
en compte dans les projets d’aménagement pour s’y
adapter et, le cas échéant, réduire la
plantation à un seul côté de la voie, réaliser
des plantations discontinues, ou encore choisir des essences
au port étroit, sans que ces choix ne se révèlent
contradictoires aux enjeux de fonctionnalité écologique
de ce maillage.
Les
voies royales et les rues de faubourgs, un potentiel pour renforcer
les continuités écologiques
La voirie parisienne reflète aussi les différentes
époques de son histoire. Les rues de faubourg et les
anciennes voies royales ont ainsi structuré l’urbanisation
de Paris avant les travaux d’Haussmann.
On recense aujourd’hui 176 km de ces voies structurantes
antérieures au XIXe siècle. Ces voies sont en
majorité des voies de 11 à 19 m de large. Ce sont
: 95 km de voies de 11 à 19 m de large (54 %) ; 69 km
de voies de plus de 19 m de large (39 %) ; 12 km de voies de
moins de 11 m de large (7 %).
Les voies royales et les rues de faubourg ont la particularité
commune d’être de grands axes de circulation, des
voies commerçantes, et de relier le centre de Paris aux
communes riveraines - voies de faubourg -, et aux grandes villes
françaises, voies royales. Si les voies royales sont
de grands tracés rectilignes, larges et plantées
de part et d’autre d’alignements d’arbres
de grand développement - elles préfigurent en
cela les avenues et boulevards du XIXe siècle -, les
rues de faubourgs au contraire épousent le relief, s’élargissent
à mesure qu’elles s’éloignent de Paris
et sont généralement dépourvues de plantations.
La végétalisation de ces voies apparaît
comme un potentiel intéressant à exploiter pour
renforcer la place et le rôle de la nature en ville, et
en particulier pour renforcer le maillage des corridors écologiques.
Ces voies se développent souvent suivant des tracés
organiques descendant de collines et générant
des vues lointaines sur Paris. La végétalisation
de ces voies implique de prendre en considération les
vues lointaines qu’elles offrent et préférer,
le cas échéant, une plantation unilatérale
ou discontinue.
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723
km de voies de plus de 19 m de large |
393 km de voies larges et plantées pour renforcer les 115
km de corridors de biodiversité parisiens ©
Apur, DEVE |
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Rue
du Faubourg Saint-Antoine (XIe) ©
Apur |
Rue de
Rennes (VIe) ©
Apur |
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Rue
de Ménilmontant (XIXe), à l’angle de la rue
de l’Hermitage, en perspective le centre Georges Pompidou
et la forêt de Meudon ©
Apur |
Rue de
Belleville (XXe), vue depuis la rue des Pyrénées avec
une perspective sur la tour Eiffel ©
Apur |
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.....
.......Étude
Espaces publics à végétaliser
à Paris
.................L’Apur,
Atelier parisien d’urbanisme, est une association
loi 1901 qui réunit, autour de ses membres
.................fondateurs,
la Ville de Paris et l’État, les acteurs
de la Métropole du Grand Paris..
... |
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.....................
.................Directrice
de la publication : Dominique ALBA
.................Étude
réalisée par : Yann-Fanch VAULEON
.................Sous
la direction de : Patricia PELLOUX
....
|
.....
Avec le concours de : Luisa COPPOLINO
Cartographie et traitement statistique : Yann-Fanch
VAULEON |
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........ |
.....
Cette étude a été réalisée
en collaboration avec :
-
les services de la Direction des Espaces Verts et
de l’Environnement (DEVE), et en particulier
l’agence d’écologie urbaine, le
service du paysage et de l’aménagement,
le service de l’arbre et des bois, le service
d’exploitation
des jardins et le service des sciences et techniques
du végétal et de l’agriculture
urbaine ;
-
les services de la Direction de la Voirie et des Déplacements
(DVD) et en particulier le service de l’aménagement
et des grands projets et l’agence de la mobilité
;
-
les services de la Direction de la Propreté
et de l’Eau (DPE) et en particulier le service
technique de l’eau et de l’assainissement
;
-
et les services de l’État (DRAC, DRIEE).
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