Il
était une fois l’histoire d’un chêne, vieux de
210 ans, devenu un pilier en son royaume. Ce film d’aventure spectaculaire
rassemble
un casting hors du commun : écureuils, balanins, geais, fourmis,
mulots… Tout ce petit monde vibrant, vrombissant et merveilleux
scelle sa destinée autour de cet arbre majestueux qui les accueille,
les nourrit, les protège de ses racines jusqu’à sa
cime.
Une ode poétique à la vie où la nature est seule
à s’exprimer.
Les
personnages : Le balanin |
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Curculio
glandium : Balanin des glands
On
rencontre ce balanin aussi bien en milieu ouvert que fermé.
Les adultes présentent 2 périodes d’activité
intense séparées par une phase de repose de 8
jours : du 15 avril au 28 juillet et du 5 août au 15 septembre.
Il peut avoir un cycle complet sur une année. Mais il
peut y avoir une diapause - la larve patiente sous terre sans
se développer - de 2 ans.
Certaines
années, les émergences de balanins adultes peuvent
se produire début avril au moment où les chênes
commencent à débourrer. Si le froid interrompt
le développement des fleurs du chêne, les balanins
se nourrissent momentanément sur d’autres végétaux.
Les femelles balanin des glands pondent en général
immédiatement après la fécondation des
fleurs femelles, début juillet. Exceptionnellement, elles
peuvent pondre avant.
La
particularité des mandibules des balanins
Les
mandibules des balanins diffèrent des mandibules des
autres coléoptères. Chez les balanins, les mandibules
sont insérées côte à côte pour
se mouvoir verticalement, contrairement à celles des
autres coléoptères qui fonctionnent horizontalement.
La
ponte et les stratégies de ponte
La
femelle de balanin semble sonder la valeur nutritive du gland
avant de pondre. S’il ne convient pas, le gland est abandonné.
Si la femelle est dérangée par un intrus, elle
ne pond pas. La ponte a lieu peu après l’accouplement.
La ponte diffère selon l’état de maturation
du gland et l’espèce de balanin. Les deux balanins
- elephas et glandium - ne pondent pas de
la même manière.
La disposition spécifique des mandibules permet le forage
du gland. Quand elle fore, la femelle prend appui sur le gland
et fait un mouvement de 180° sur le gland pour enfoncer
la totalité de son rostre. Son rostre agit comme un vilebrequin.
Quand elle a enfoncé la totalité de son rostre,
elle se retourne de 180° et l’organe de ponte - oviscape
- se dévagine dans le trou de ponte parfaitement cylindrique.
Il peut arriver que la femelle perde son appui sur le gland
et se retrouve dans l’impossibilité de rétablir
son appui. Dans ce cas, elle reste coincée par son rostre
et meurt.
La
ponte sur le gland jeune du balanin des glands
Lorsque
le gland est très jeune, la cupule est épaisse
et recouvre en partie le gland. Dans ce cas, la femelle du balanin
des glands ne fore pas profondément la cupule et elle
dépose son œuf dans une petite loge creusée
dans l’épaisseur de la cupule. Il semble exister
une sorte d’excroissance sur la paroi interne de la cupule
qui protège la ponte. Lors de l’éclosion,
la larve traverse cette excroissance avant de perforer le gland
pour atteindre les cotylédons. La larve obture la galerie
qu’elle a creusée avec ses excréments très
fins.
La
ponte sur le gland plus âgé du balanin des glands
La
cupule est amincie et le gland plus allongé. La perforation
de ponte a lieu soit sur le bord très mince de la cupule
- trou à peine visible -, soit directement dans le gland.
Dans ce cas, le rostre traverse la cupule et l’enveloppe
du gland - péricarpe - et la femelle dépose son
œuf dans une petite dépression de la tunique du
cotylédon, ou directement sur le cotylédon. La
larve est proche de la source de nourriture.
Les
périodes de ponte
Le
balanin des glands pond entre début juillet et mi-septembre
avec un pic entre la 3ème et la 4ème semaine de
juillet. Il s’en suit une interruption des pontes d’une
semaine.
La
larve du balanin
Généralement,
la sortie de la larve s’effectue une fois le gland tombé
au sol. Il peut arriver que la larve sorte avant mais c’est
rare. Une fois le gland au sol, la larve en sort dans les jours
qui suivent.
Après étude, les scientifiques n’ont pas
été en mesure d’établir une indication
fiable sur l’endroit d'où sortent les larves. La
larve est grosse par rapport au diamètre du trou de sortie.
La larve s’enfouit dans le sol, dans une loge nymphale,
entre 5 et 10 cm de profondeur. Elle est vulnérable à
toutes sortes de prédateurs, y compris les insectes prédateurs
dans le sol, comme les staphylins.
La
vie du balanin adulte
La
vie adulte d’un balanin est essentiellement consacrée
à la reproduction. Sa durée de vie est d’environ
3 semaines. Le balanin est actif durant le jour. En période
de ponte, on peut compter jusqu’à un millier d’adultes
sur un chêne. L’adulte vole très bien pour
aller d’un chêne à l’autre à
la recherche d’un partenaire. L’adulte mange très,
très peu. Il grignote des feuilles pour avoir un peu
d’humidité, notamment les femelles durant le temps
de la maturation des ovocytes. On ne sait pas si une femelle
qui a pondu sur un gland peut aller pondre sur un autre gland.
Il y a une grande variété de tailles chez les
balanins adultes. Tout dépend de la quantité de
nourriture que la larve a eu à disposition avant qu’elle
ne se transforme en un insecte complet.
Les
prédateurs du balanin
Les
hyménoptères tels que les guêpes solitaires
des genres Emenes et Odynerus se nourrissent
des balanins. Les oiseaux insectivores peuvent aussi les consommer.
Les
6 photos : © 2022 – Camera One – Winds –
Gaumont
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La
vie adulte d’un balanin est essentiellement consacrée
à la reproduction. En période de ponte, on peut
compter
jusqu’à un millier d’adultes sur un chêne.
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Les personnages : L'écureuil |
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Alimentation
L’activité
de l’écureuil varie en fonction de la durée
de la lumière, de la température, de la quantité
de neige, de l’intensité du vent et de la quantité
de nourriture disponible. D’une façon générale,
l’essentiel de son activité est orientée vers
la recherche de nourriture.
Son alimentation est essentiellement végétale :
graines de conifères, fruits secs, baies, champignons,
jeunes pousses, bourgeons, écorces. Il peut aussi consommer
des œufs d’oiseaux, des larves, et des chrysalides
d’insectes.
Il fait des provisions pour l’hiver, qu’il entasse
dans de petites caches à terre, ou en les cachant sous
l’écorce d’un arbre.
En hiver, l’écureuil est franchement diurne, avec
un
important pic d’activité le matin, notamment après
le lever du soleil. Au printemps et en été, il s’active
aussi en fin de journée ; Il n’hiberne pas mais il
peut séjourner 18 à 19h dans son gite en cas de
grosses intempéries hivernales. Ce temps passé au
gite lui permet de thermo-réguler son organisme. Par grand
vent ou gros orage, il ne quitte pas son nid. De même, à
la belle saison, il reste au nid afin d’éviter les
heures les plus chaudes.
Le
nid
L’écureuil
aménage plusieurs nids selon l’utilisation qu’il
en fait, et aussi afin d’échapper à ses prédateurs.
Un seul sert pour l’hiver, ou pour l’élevage
des jeunes. Il l’installe souvent en haut d’un tronc
d’arbre. L’édifice peut mesurer 50 cm de diamètre
et se compose de petites branches et de feuilles à l’extérieur,
de mousses et d’herbes à l’intérieur.
L’écureuil
n’est pas très sociable. Mais, lors de la saison
de reproduction, les mâles rejoignent les territoires des
femelles en vue de s’accoupler. Après l’accouplement,
ils regagnent leur territoire. Ce n’est pas un animal territorial.
Les territoires de plusieurs écureuils se recouvrent souvent.
Les
2 photos : © 2022 – Camera One – Winds –
Gaumont
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Reproduction
La
femelle a, en moyenne, 2 portées par an de 5 à 7
jeunes. La première en février-mars, et la seconde
entre mai et août. La gestation dure 38 à 39 jours.
Les petits écureuils naissent aveugles et nus. À
la naissance, les oreilles ne sont pas développées,
et sont plaquées contre la tête. Ils ouvrent les
yeux à 30 jours. À cette période, ils deviennent
plus actifs, font leur toilette et bougent autour du nid. La première
sortie du nid a lieu à 45 jours. Ils sont alors capables
de consommer de la nourriture plus consistante. Ils deviennent
complètement indépendants entre 8 et 10 semaines,
mais restent encore un moment près de leur mère,
qui leur apprend comment trouver leur nourriture. Ils peuvent
se reproduire à l’âge d’un an. La mortalité
des jeunes écureuils est très importante, en raison
de la prédation par les rapaces et certains mammifères,
mais aussi des collisions avec les automobiles. À peine
1 sur 4 survit au-delà d’un an.
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Les personnages : Le geai des chênes |
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Les 5 photos : © 2022 – Camera One – Winds –
Gaumont |
Le
vol du geai est spécial. Ses ailes larges et arrondies
battent à coups lents ou précipités, et la
vitesse de l’oiseau n’est pas rapide. À découvert,
il paraît lourd, pressé de plonger dans un arbre.
À contrario, il est très à l’aise dans
les bois, et se déplace dans la ramure avec habileté,
tantôt par courtes envolées, tantôt par grands
bonds d’une branche à l’autre. À terre,
il se déplace par sauts, sans grâce. Il se tient
toujours à couvert, et ne s’éloigne pas des
arbres. Il est remuant, criard, fort curieux, et attentif à
tout ce qui se passe autour de lui. Il est méfiant, farouche,
manifeste facilement son inquiétude par un cri traînant
et rauque. Il vit en petits groupes la plus grande partie de l’année,
qui gardent quelques distances entre eux. Au printemps, les couples
formés prennent leurs distances. En automne, ils peuvent
se rassembler en troupes nombreuses, lorsqu’ils doivent
émigrer.
Le
geai et les glands
Le
chêne procure au moins la moitié de sa subsistance.
Tant que les glands restent attachés à l’arbre,
il les cueille. Plus tard, il cherche ceux qui sont tombés
au sol. Il en introduit un petit nombre dans le tube digestif
et la poche buccale puis s’envole vers un lieu tranquille,
où il les dégorge, les décortique et les
mange en partie. À l’automne, il peut en transporter
de grandes quantités.
Un ornithologue allemand a observé qu’en 4 semaines,
environ 65 geais transportèrent 300 000 glands. Les geais
parcouraient entre 2 et 4 km. Ils commençaient leurs allées
et venues vers 6h30-7h du matin, et les arrêtaient vers
18h. La richesse de la glandée influence beaucoup le vagabondage
des geais. Ils séjournent longuement dans les lieux où
elle est abondante.
Outre les glands, le geai consomme des fruits et baies sauvages,
et des coléoptères, comme les hannetons et les carabes.
Opportuniste, il peut chasser des araignées, des rongeurs
de petite taille.
La
voix du geai
Il
produit des cris désagréables lorsqu’il alarme,
mais il est aussi un bon imitateur d’autres oiseaux. Dès
que les geais sont en couple et qu’ils construisent leur
nid, ils deviennent silencieux jusqu’à l’indépendance
des jeunes.
Le
nid
Il
est construit en avril par le mâle et la femelle. Il peut
être posé sur des rejets latéraux contre un
tronc, dans une enfourchure de lierre, dans une grande cavité.
Il s’agit d’une coupe de racines et de radicelles,
d’herbes, posée sur une assise de branchettes sèches.
Il s’agit d’un nid plat peu volumineux.
La ponte - 5 à 6 œufs en moyenne - a lieu fin avril
ou début mai, le plus souvent quand le feuillage est suffisamment
développé pour masquer le nid. La femelle reste
aux abords du nid dès que le premier œuf est pondu.
En cas de dérangement durant la couvaison, il y a abandon
de la couvée. La femelle est la seule à couver.
L'alimentation
des jeunes geais
Essentiellement
des chenilles, et en moins grande quantité des coléoptères
et des araignées. En très faible quantité,
des morceaux de glands et des galles.
Selon une expérimentation réalisée en Espagne,
le geai prélève, de préférence, les
glands les plus gros. Le nombre de glands transportés est
plus important en hiver qu’au printemps et qu’en été.
Le geai détermine tout d’abord visuellement quel
gland va être transporté puis il va choisir la façon
de transporter, soit en l’ingérant, soit en le logeant
dans son bec. Au préalable, il teste - probablement par
pression - si le gland est parasité ou s’il a déjà
germé.
Lorsque le geai ne transporte qu’un ou deux glands, il emporte
de gros glands. Lorsqu’il en transporte plus, il choisit
des glands plus petits. Le gland est toujours transporté
dans le bec lorsqu’il est seul, ou lorsqu’il s’agit
du dernier gland emporté lors d’un transport multiple
de glands. Il tente d’abord de l’avaler mais si c’est
impossible, il le stocke dans son bec. La taille du gland détermine
le moyen de transport. Il transporte les glands dans sa gorge
lorsqu’ils sont de petite taille - 1,47 cm de largeur en
moyenne - et dans son bec lorsqu’ils sont plus grands :
1,72 cm de largeur en moyenne.
Les
ennemis du geai
La
chouette hulotte tant pour les adultes que pour les jeunes, l’épervier
et plus encore l’autour. |
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Le
geai des chênes produit des cris désagréables
lorsqu’il alarme
mais il est aussi un bon imitateur d’autres oiseaux.
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Les
personnages : La chouette hulotte
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Reproduction
La
Chouette hulotte mâle effectue des vols territoriaux pour
établir le territoire, tandis que la femelle choisit la
cavité du nid. Les comportements agressifs commencent en
octobre-novembre. Ensuite, juste après l’établissement
du territoire et du site du nid, les deux partenaires dorment
souvent ensemble. Le mâle offre de la nourriture à
la femelle. Quelques parades le montrent posé près
de sa partenaire, se balançant d’un côté
à l’autre mais aussi de bas en haut. Il relève
d’abord une aile, puis l’autre, et ensuite les deux
en même temps. Au cours d’autres parades, le mâle
gonfle son plumage, ce qui le fait apparaître presque rond.
Quelques grognements doux peuvent être entendus. Il claque
des ailes et se lance à la poursuite de la femelle qui,
elle aussi, gonfle son plumage et fait vibrer ses plumes. La tendance
à pondre très tôt, avant l’équinoxe
de printemps et au cœur de l’hiver, si les conditions
alimentaires le permettent, est, sans doute, associée au
régime omnivore, et à la longueur du cycle de reproduction
qui approche 5 mois. La femelle dépose 2 à 6 œufs,
parfois un seul. Elle incube seule pendant 28-30 jours, période
pendant laquelle le mâle la nourrit. Les poussins sont couverts
de duvet blanc. La femelle les couve pendant les deux premières
semaines. Ils sont emplumés au bout de 32-37 jours après
la naissance, mais ils quittent souvent le nid plus tôt,
au bout de 25 à 30 jours, et restent dans les branches
voisines. Ils sont indépendants trois mois plus tard, et
peuvent se reproduire à l’âge d’un ou
deux ans.
La Chouette hulotte est habituellement monogame et les liens du
couple durent toute la vie. Ils sont résidents à
l’intérieur de leur territoire, alors que les jeunes
se dispersent vers la fin de l’automne.
Alimentation
La
Chouette hulotte se nourrit principalement de petits mammifères
tels que souris, musaraignes et campagnols, mais aussi pouvant
atteindre la taille d’un écureuil ou d’un jeune
lapin. Des petits oiseaux, jusqu’à la taille du pigeon,
et amphibiens, reptiles, vers, escargots et insectes, sont également
pris, selon l’endroit et la disponibilité des proies.
Elle chasse la nuit, entre le crépuscule et l’aube,
mais elle peut occasionnellement être diurne. Elle chasse
en général depuis un perchoir et localise les proies
grâce à l’ouïe. Elle effectue des vols
courts et revient au même endroit. Elle se laisse tomber
sur la proie, et ouvre ses ailes au moment de l’impact,
pour couvrir la proie et la frapper. Lorsqu’elle chasse
au-dessus des zones découvertes, elle vole lentement, effectue
quelques glissés, pratique le vol stationnaire et cherche
ses proies en volant en zigzag. Il lui arrive de prendre quelques
poissons à la surface de l’eau tout en volant. Elle
est capable de capturer les insectes et les chauves-souris en
vol. La proie est consommée sur un perchoir élevé.
Comme les autres Strigidés, la Chouette hulotte régurgite
des pelotes contenant les parties non digérées comme
les os, les dents, la fourrure, les plumes. |
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Cris
et chants
La
Chouette hulotte a un vaste répertoire de cris, et on note
quelques variations entre les deux sexes. Elle émet un
long hululement tremblotant, au cours duquel des monosyllabes
faibles alternent avec des pauses courtes. Il finit en long et
doux trémolo qui baisse en tonalité. Pendant les
parades amoureuses, elle émet des trilles longs, mais aussi
des cris de contact doux quit.
Un kewick
aigu est plutôt entendu au printemps et en été,
quand l’oiseau est excité ou agressif. |
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La
Chouette hulotte chasse la nuit, entre le crépuscule et
l’aube,
mais elle peut occasionnellement être diurne. |
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..Autour
de la sortie du film Le Chêne
et ses habitants de
Laurent Charbonnier et Michel Seydoux
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L’album Jeunesse
Une œuvre documentaire destinée aux
enfants de 6 ans et plus, sur l’éco-système
d’un arbre, permettant la lecture et l’écoute.
Écrit et illustré par François
Place, c'est un récit très simple et beau,
avec une sélection d'images, un texte narratif
d’accompagnement et un QR code dirigeant vers
des extraits de la bande sonore du film. Aux éditions
Belin éducation
La
bande dessinée
Une BD pour un public adolescent, éditée
avec la Cité internationale de la BD et de l’image
d’Angoulême. Faire découvrir une
forêt qu’on ne verra plus jamais de la même
manière, un apprentissage de la nature et une
démonstration de la biodiversité…
Fin 2022
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L’édition du storyboard
Toutes
les images du film ont été dessinées
avant d’être filmées, c’est
pourquoi sera proposé un bel objet montrant notre
travail et permettant de comprendre
comment le film a été construit. Les secrets
du chêne, mais aussi les secrets de la fabrication
d’un film... Édité par Humensis
et distribué dans les écoles de cinéma
Le
beau livre
Une œuvre qui donne à mieux comprendre la
biodiversité. Le film n’ayant pas de voix-off,
le public sera en demande de plus d’informations,
le beau livre représentera une visite guidée
du chêne avec des éclairages scientifiques
: un dialogue avec les images et les dessins du film.
Ce projet écrit par Jacques Tassin, chercheur
en écologie au Cirad et écrivain, déjà
connu pour son travail de vulgarisation scientifique,
nous guidera à travers ce voyage. La symbolique
du chêne à travers la science, l’histoire
et la compréhension de son écosystème.
Éditions Belin
Le
clip
La chanson du générique de fin Et
tu restes de Tim Dup.
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Le kit pédagogique
Ce
kit pédagogique a été conçu
de manière à préparer les élèves
de Cycle 2 et de Cycle 3 à aller voir Le
Chêne au cinéma, tout en éveillant
leur curiosité et en leur permettant de développer
de nouvelles connaissances dans différentes matières
du programme car il propose de travailler autour du
film à partir d’entrées pluridisciplinaires.
Sciences
: Le vivant et sa diversité : cycle de vie, biodiversité
Arts visuels : L’arbre dans les arts
Éducation musicale : Écouter
et décrire les éléments sonores
issus de contextes naturels
Français : Lecture d'un livre documentaire,
poésie, champ lexical, les métiers du
cinéma
Technologie : Fabrication d'un flip book, du
flip book au film, principe du cinéma
Histoire des arts : La construction d'un film,
les métiers du cinéma
Des
propositions complémentaires à réaliser
après le visionnage du film figurent également
à la fin de chaque parcours. Sous la forme de
fiches d’activités, elles permettent de
revenir sur le film et ses apprentissages.
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Liste
technique....
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Réalisateurs
: Laurent
Charbonnier et Michel Seydoux
Scénaristes
: Michel Fessler et Michel Seydoux
D’après une idée originale de Laurent
Charbonnier
Storyboard : Vincent Coperet
Image : Mathieu Giombini
Prises de vues sauvages : Laurent Charbonnier
Prises de vues macro : Samuel Guiton
Son : Martine Todisco - Samy Bardet - Philippe
Penot
Marc Doisne
Montage : Sylvie Lager ; Décors
: David Faivre
Assistant de réalisation : Julien Le Roux
Conseiller technique : Guillaume Poyet
lechene-lefilm.com |
Directeur
de production : Philippe Baisadouli
Compositeur musique originale : Cyrille Aufort
Chanson originale Et tu restes : Tim
Dup
Producteurs : Barthélémy Fougea
- Michel Seydoux
Coproduction : Camera One - Winds - Gaumont,
avec :
Fondation Didier et Martine Primat - JMC Family Office
Fondation famille Lemarchand, avec le soutien de Mercator
Avec la participation : du Muséum national
d'Histoire naturelle
- de l’Office National des Forêts - et de
l’UNESCO
Avec le soutien : du Département de Loir
et Cher - du Crédit Mutuel
- du Groupe Christian Mahout - et de la MAÏF
Distribution France et internationale : Gaumont |
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