Film Le Chêne
et ses habitants
de Laurent Charbonnier et Michel Seydoux

(2) Les personnages :
Le balanin - L'écureuil - Le geai des chênes - La chouette hulotte



Il était une fois l’histoire d’un chêne, vieux de 210 ans, devenu un pilier en son royaume. Ce film d’aventure spectaculaire rassemble
un casting hors du commun : écureuils, balanins, geais, fourmis, mulots… Tout ce petit monde vibrant, vrombissant et merveilleux
scelle sa destinée autour de cet arbre majestueux qui les accueille, les nourrit, les protège de ses racines jusqu’à sa cime.
Une ode poétique à la vie où la nature est seule à s’exprimer.

Les personnages : Le balanin  

Curculio glandium : Balanin des glands

On rencontre ce balanin aussi bien en milieu ouvert que fermé.
Les adultes présentent 2 périodes d’activité intense séparées par une phase de repose de 8 jours : du 15 avril au 28 juillet et du 5 août au 15 septembre. Il peut avoir un cycle complet sur une année. Mais il peut y avoir une diapause - la larve patiente sous terre sans se développer - de 2 ans.

Certaines années, les émergences de balanins adultes peuvent se produire début avril au moment où les chênes commencent à débourrer. Si le froid interrompt le développement des fleurs du chêne, les balanins se nourrissent momentanément sur d’autres végétaux. Les femelles balanin des glands pondent en général immédiatement après la fécondation des fleurs femelles, début juillet. Exceptionnellement, elles peuvent pondre avant.

La particularité des mandibules des balanins

Les mandibules des balanins diffèrent des mandibules des autres coléoptères. Chez les balanins, les mandibules sont insérées côte à côte pour se mouvoir verticalement, contrairement à celles des autres coléoptères qui fonctionnent horizontalement.

La ponte et les stratégies de ponte

La femelle de balanin semble sonder la valeur nutritive du gland avant de pondre. S’il ne convient pas, le gland est abandonné. Si la femelle est dérangée par un intrus, elle ne pond pas. La ponte a lieu peu après l’accouplement.
La ponte diffère selon l’état de maturation du gland et l’espèce de balanin. Les deux balanins - elephas et glandium - ne pondent pas de la même manière.
La disposition spécifique des mandibules permet le forage du gland. Quand elle fore, la femelle prend appui sur le gland et fait un mouvement de 180° sur le gland pour enfoncer la totalité de son rostre. Son rostre agit comme un vilebrequin. Quand elle a enfoncé la totalité de son rostre, elle se retourne de 180° et l’organe de ponte - oviscape - se dévagine dans le trou de ponte parfaitement cylindrique. Il peut arriver que la femelle perde son appui sur le gland et se retrouve dans l’impossibilité de rétablir son appui. Dans ce cas, elle reste coincée par son rostre et meurt.

La ponte sur le gland jeune du balanin des glands

Lorsque le gland est très jeune, la cupule est épaisse et recouvre en partie le gland. Dans ce cas, la femelle du balanin des glands ne fore pas profondément la cupule et elle dépose son œuf dans une petite loge creusée dans l’épaisseur de la cupule. Il semble exister une sorte d’excroissance sur la paroi interne de la cupule qui protège la ponte. Lors de l’éclosion, la larve traverse cette excroissance avant de perforer le gland pour atteindre les cotylédons. La larve obture la galerie qu’elle a creusée avec ses excréments très fins.

La ponte sur le gland plus âgé du balanin des glands

La cupule est amincie et le gland plus allongé. La perforation de ponte a lieu soit sur le bord très mince de la cupule - trou à peine visible -, soit directement dans le gland. Dans ce cas, le rostre traverse la cupule et l’enveloppe du gland - péricarpe - et la femelle dépose son œuf dans une petite dépression de la tunique du cotylédon, ou directement sur le cotylédon. La larve est proche de la source de nourriture.

Les périodes de ponte

Le balanin des glands pond entre début juillet et mi-septembre avec un pic entre la 3ème et la 4ème semaine de juillet. Il s’en suit une interruption des pontes d’une semaine.

La larve du balanin

Généralement, la sortie de la larve s’effectue une fois le gland tombé au sol. Il peut arriver que la larve sorte avant mais c’est rare. Une fois le gland au sol, la larve en sort dans les jours qui suivent.
Après étude, les scientifiques n’ont pas été en mesure d’établir une indication fiable sur l’endroit d'où sortent les larves. La larve est grosse par rapport au diamètre du trou de sortie. La larve s’enfouit dans le sol, dans une loge nymphale, entre 5 et 10 cm de profondeur. Elle est vulnérable à toutes sortes de prédateurs, y compris les insectes prédateurs dans le sol, comme les staphylins.

La vie du balanin adulte

La vie adulte d’un balanin est essentiellement consacrée à la reproduction. Sa durée de vie est d’environ 3 semaines. Le balanin est actif durant le jour. En période de ponte, on peut compter jusqu’à un millier d’adultes sur un chêne. L’adulte vole très bien pour aller d’un chêne à l’autre à la recherche d’un partenaire. L’adulte mange très, très peu. Il grignote des feuilles pour avoir un peu d’humidité, notamment les femelles durant le temps de la maturation des ovocytes. On ne sait pas si une femelle qui a pondu sur un gland peut aller pondre sur un autre gland. Il y a une grande variété de tailles chez les balanins adultes. Tout dépend de la quantité de nourriture que la larve a eu à disposition avant qu’elle ne se transforme en un insecte complet.

Les prédateurs du balanin

Les hyménoptères tels que les guêpes solitaires des genres Emenes et Odynerus se nourrissent des balanins. Les oiseaux insectivores peuvent aussi les consommer.

Les 6 photos : © 2022 – Camera One – Winds – Gaumont

 
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La vie adulte d’un balanin est essentiellement consacrée
à la reproduction. En période de ponte, on peut compter
jusqu’à un millier d’adultes sur un chêne.

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Les personnages : L'écureuil
 

Alimentation

L’activité de l’écureuil varie en fonction de la durée de la lumière, de la température, de la quantité de neige, de l’intensité du vent et de la quantité de nourriture disponible. D’une façon générale, l’essentiel de son activité est orientée vers la recherche de nourriture.
Son alimentation est essentiellement végétale : graines de conifères, fruits secs, baies, champignons, jeunes pousses, bourgeons, écorces. Il peut aussi consommer des œufs d’oiseaux, des larves, et des chrysalides d’insectes.
Il fait des provisions pour l’hiver, qu’il entasse dans de petites caches à terre, ou en les cachant sous l’écorce d’un arbre.
En hiver, l’écureuil est franchement diurne, avec un
important pic d’activité le matin, notamment après le lever du soleil. Au printemps et en été, il s’active aussi en fin de journée ; Il n’hiberne pas mais il peut séjourner 18 à 19h dans son gite en cas de grosses intempéries hivernales. Ce temps passé au gite lui permet de thermo-réguler son organisme. Par grand vent ou gros orage, il ne quitte pas son nid. De même, à la belle saison, il reste au nid afin d’éviter les heures les plus chaudes.

Le nid

L’écureuil aménage plusieurs nids selon l’utilisation qu’il en fait, et aussi afin d’échapper à ses prédateurs. Un seul sert pour l’hiver, ou pour l’élevage des jeunes. Il l’installe souvent en haut d’un tronc d’arbre. L’édifice peut mesurer 50 cm de diamètre et se compose de petites branches et de feuilles à l’extérieur, de mousses et d’herbes à l’intérieur.

L’écureuil n’est pas très sociable. Mais, lors de la saison de reproduction, les mâles rejoignent les territoires des femelles en vue de s’accoupler. Après l’accouplement, ils regagnent leur territoire. Ce n’est pas un animal territorial. Les territoires de plusieurs écureuils se recouvrent souvent.

Les 2 photos : © 2022 – Camera One – Winds – Gaumont
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Reproduction

La femelle a, en moyenne, 2 portées par an de 5 à 7 jeunes. La première en février-mars, et la seconde entre mai et août. La gestation dure 38 à 39 jours. Les petits écureuils naissent aveugles et nus. À la naissance, les oreilles ne sont pas développées, et sont plaquées contre la tête. Ils ouvrent les yeux à 30 jours. À cette période, ils deviennent plus actifs, font leur toilette et bougent autour du nid. La première sortie du nid a lieu à 45 jours. Ils sont alors capables de consommer de la nourriture plus consistante. Ils deviennent complètement indépendants entre 8 et 10 semaines, mais restent encore un moment près de leur mère, qui leur apprend comment trouver leur nourriture. Ils peuvent se reproduire à l’âge d’un an. La mortalité des jeunes écureuils est très importante, en raison de la prédation par les rapaces et certains mammifères, mais aussi des collisions avec les automobiles. À peine 1 sur 4 survit au-delà d’un an.
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Les personnages : Le geai des chênes

Les 5 photos : © 2022 – Camera One – Winds – Gaumont

Le vol du geai est spécial. Ses ailes larges et arrondies battent à coups lents ou précipités, et la vitesse de l’oiseau n’est pas rapide. À découvert, il paraît lourd, pressé de plonger dans un arbre. À contrario, il est très à l’aise dans les bois, et se déplace dans la ramure avec habileté, tantôt par courtes envolées, tantôt par grands bonds d’une branche à l’autre. À terre, il se déplace par sauts, sans grâce. Il se tient toujours à couvert, et ne s’éloigne pas des arbres. Il est remuant, criard, fort curieux, et attentif à tout ce qui se passe autour de lui. Il est méfiant, farouche, manifeste facilement son inquiétude par un cri traînant et rauque. Il vit en petits groupes la plus grande partie de l’année, qui gardent quelques distances entre eux. Au printemps, les couples formés prennent leurs distances. En automne, ils peuvent se rassembler en troupes nombreuses, lorsqu’ils doivent émigrer.

Le geai et les glands

Le chêne procure au moins la moitié de sa subsistance. Tant que les glands restent attachés à l’arbre, il les cueille. Plus tard, il cherche ceux qui sont tombés au sol. Il en introduit un petit nombre dans le tube digestif et la poche buccale puis s’envole vers un lieu tranquille, où il les dégorge, les décortique et les mange en partie. À l’automne, il peut en transporter de grandes quantités.
Un ornithologue allemand a observé qu’en 4 semaines, environ 65 geais transportèrent 300 000 glands. Les geais parcouraient entre 2 et 4 km. Ils commençaient leurs allées et venues vers 6h30-7h du matin, et les arrêtaient vers 18h. La richesse de la glandée influence beaucoup le vagabondage des geais. Ils séjournent longuement dans les lieux où elle est abondante.
Outre les glands, le geai consomme des fruits et baies sauvages, et des coléoptères, comme les hannetons et les carabes. Opportuniste, il peut chasser des araignées, des rongeurs de petite taille.

La voix du geai

Il produit des cris désagréables lorsqu’il alarme, mais il est aussi un bon imitateur d’autres oiseaux. Dès que les geais sont en couple et qu’ils construisent leur nid, ils deviennent silencieux jusqu’à l’indépendance des jeunes.

Le nid

Il est construit en avril par le mâle et la femelle. Il peut être posé sur des rejets latéraux contre un tronc, dans une enfourchure de lierre, dans une grande cavité. Il s’agit d’une coupe de racines et de radicelles, d’herbes, posée sur une assise de branchettes sèches. Il s’agit d’un nid plat peu volumineux.
La ponte - 5 à 6 œufs en moyenne - a lieu fin avril ou début mai, le plus souvent quand le feuillage est suffisamment développé pour masquer le nid. La femelle reste aux abords du nid dès que le premier œuf est pondu. En cas de dérangement durant la couvaison, il y a abandon de la couvée. La femelle est la seule à couver.

L'alimentation des jeunes geais

Essentiellement des chenilles, et en moins grande quantité des coléoptères et des araignées. En très faible quantité, des morceaux de glands et des galles.
Selon une expérimentation réalisée en Espagne, le geai prélève, de préférence, les glands les plus gros. Le nombre de glands transportés est plus important en hiver qu’au printemps et qu’en été.
Le geai détermine tout d’abord visuellement quel gland va être transporté puis il va choisir la façon de transporter, soit en l’ingérant, soit en le logeant dans son bec. Au préalable, il teste - probablement par pression - si le gland est parasité ou s’il a déjà germé.
Lorsque le geai ne transporte qu’un ou deux glands, il emporte de gros glands. Lorsqu’il en transporte plus, il choisit des glands plus petits. Le gland est toujours transporté dans le bec lorsqu’il est seul, ou lorsqu’il s’agit du dernier gland emporté lors d’un transport multiple de glands. Il tente d’abord de l’avaler mais si c’est impossible, il le stocke dans son bec. La taille du gland détermine le moyen de transport. Il transporte les glands dans sa gorge lorsqu’ils sont de petite taille - 1,47 cm de largeur en moyenne - et dans son bec lorsqu’ils sont plus grands : 1,72 cm de largeur en moyenne.

Les ennemis du geai

La chouette hulotte tant pour les adultes que pour les jeunes, l’épervier et plus encore l’autour.

 
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Le geai des chênes produit des cris désagréables lorsqu’il alarme
mais il est aussi un bon imitateur d’autres oiseaux.

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Les personnages : La chouette hulotte
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Reproduction

La Chouette hulotte mâle effectue des vols territoriaux pour établir le territoire, tandis que la femelle choisit la cavité du nid. Les comportements agressifs commencent en octobre-novembre. Ensuite, juste après l’établissement du territoire et du site du nid, les deux partenaires dorment souvent ensemble. Le mâle offre de la nourriture à la femelle. Quelques parades le montrent posé près de sa partenaire, se balançant d’un côté à l’autre mais aussi de bas en haut. Il relève d’abord une aile, puis l’autre, et ensuite les deux en même temps. Au cours d’autres parades, le mâle gonfle son plumage, ce qui le fait apparaître presque rond. Quelques grognements doux peuvent être entendus. Il claque des ailes et se lance à la poursuite de la femelle qui, elle aussi, gonfle son plumage et fait vibrer ses plumes. La tendance à pondre très tôt, avant l’équinoxe de printemps et au cœur de l’hiver, si les conditions alimentaires le permettent, est, sans doute, associée au régime omnivore, et à la longueur du cycle de reproduction qui approche 5 mois. La femelle dépose 2 à 6 œufs, parfois un seul. Elle incube seule pendant 28-30 jours, période pendant laquelle le mâle la nourrit. Les poussins sont couverts de duvet blanc. La femelle les couve pendant les deux premières semaines. Ils sont emplumés au bout de 32-37 jours après la naissance, mais ils quittent souvent le nid plus tôt, au bout de 25 à 30 jours, et restent dans les branches voisines. Ils sont indépendants trois mois plus tard, et peuvent se reproduire à l’âge d’un ou deux ans.
La Chouette hulotte est habituellement monogame et les liens du couple durent toute la vie. Ils sont résidents à l’intérieur de leur territoire, alors que les jeunes se dispersent vers la fin de l’automne.

Alimentation

La Chouette hulotte se nourrit principalement de petits mammifères tels que souris, musaraignes et campagnols, mais aussi pouvant atteindre la taille d’un écureuil ou d’un jeune lapin. Des petits oiseaux, jusqu’à la taille du pigeon, et amphibiens, reptiles, vers, escargots et insectes, sont également pris, selon l’endroit et la disponibilité des proies. Elle chasse la nuit, entre le crépuscule et l’aube, mais elle peut occasionnellement être diurne. Elle chasse en général depuis un perchoir et localise les proies grâce à l’ouïe. Elle effectue des vols courts et revient au même endroit. Elle se laisse tomber sur la proie, et ouvre ses ailes au moment de l’impact, pour couvrir la proie et la frapper. Lorsqu’elle chasse au-dessus des zones découvertes, elle vole lentement, effectue quelques glissés, pratique le vol stationnaire et cherche ses proies en volant en zigzag. Il lui arrive de prendre quelques poissons à la surface de l’eau tout en volant. Elle est capable de capturer les insectes et les chauves-souris en vol. La proie est consommée sur un perchoir élevé. Comme les autres Strigidés, la Chouette hulotte régurgite des pelotes contenant les parties non digérées comme les os, les dents, la fourrure, les plumes.

 

Cris et chants

La Chouette hulotte a un vaste répertoire de cris, et on note quelques variations entre les deux sexes. Elle émet un long hululement tremblotant, au cours duquel des monosyllabes faibles alternent avec des pauses courtes. Il finit en long et doux trémolo qui baisse en tonalité. Pendant les parades amoureuses, elle émet des trilles longs, mais aussi des cris de contact doux quit. Un kewick aigu est plutôt entendu au printemps et en été, quand l’oiseau est excité ou agressif.

 
La Chouette hulotte chasse la nuit, entre le crépuscule et l’aube,
mais elle peut occasionnellement être diurne.
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Autour de la sortie du film Le Chêne
et ses habitants de Laurent Charbonnier et Michel Seydoux
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L’album Jeunesse
Une œuvre documentaire destinée aux enfants de 6 ans et plus, sur l’éco-système d’un arbre, permettant la lecture et l’écoute. Écrit et illustré par François Place, c'est un récit très simple et beau, avec une sélection d'images, un texte narratif d’accompagnement et un QR code dirigeant vers des extraits de la bande sonore du film. Aux éditions Belin éducation

La bande dessinée
Une BD pour un public adolescent, éditée avec la Cité internationale de la BD et de l’image d’Angoulême. Faire découvrir une forêt qu’on ne verra plus jamais de la même manière, un apprentissage de la nature et une démonstration de la biodiversité… Fin 2022

 

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L’édition du storyboard
Toutes les images du film ont été dessinées avant d’être filmées, c’est pourquoi sera proposé un bel objet montrant notre travail et permettant de comprendre comment le film a été construit. Les secrets du chêne, mais aussi les secrets de la fabrication d’un film... Édité par Humensis et distribué dans les écoles de cinéma

Le beau livre
Une œuvre qui donne à mieux comprendre la biodiversité. Le film n’ayant pas de voix-off, le public sera en demande de plus d’informations, le beau livre représentera une visite guidée du chêne avec des éclairages scientifiques : un dialogue avec les images et les dessins du film. Ce projet écrit par Jacques Tassin, chercheur en écologie au Cirad et écrivain, déjà connu pour son travail de vulgarisation scientifique, nous guidera à travers ce voyage. La symbolique du chêne à travers la science, l’histoire et la compréhension de son écosystème. Éditions Belin

Le clip
La chanson du générique de fin Et tu restes de Tim Dup.

 

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Le kit pédagogique

Ce kit pédagogique a été conçu de manière à préparer les élèves de Cycle 2 et de Cycle 3 à aller voir Le Chêne au cinéma, tout en éveillant leur curiosité et en leur permettant de développer de nouvelles connaissances dans différentes matières du programme car il propose de travailler autour du film à partir d’entrées pluridisciplinaires.

Sciences : Le vivant et sa diversité : cycle de vie, biodiversité
Arts visuels : L’arbre dans les arts
Éducation musicale : Écouter et décrire les éléments sonores issus de contextes naturels
Français : Lecture d'un livre documentaire, poésie, champ lexical, les métiers du cinéma
Technologie : Fabrication d'un flip book, du flip book au film, principe du cinéma

Histoire des arts : La construction d'un film, les métiers du cinéma

Des propositions complémentaires à réaliser après le visionnage du film figurent également à la fin de chaque parcours. Sous la forme de fiches d’activités, elles permettent de revenir sur le film et ses apprentissages.

 

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voir la bande annonce
(1:12)

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Liste technique.... ............
 

Réalisateurs : Laurent Charbonnier et Michel Seydoux
Scénaristes : Michel Fessler et Michel Seydoux
D’après une idée originale de Laurent Charbonnier
Storyboard : Vincent Coperet
Image : Mathieu Giombini
Prises de vues sauvages : Laurent Charbonnier
Prises de vues macro : Samuel Guiton
Son : Martine Todisco - Samy Bardet - Philippe Penot
Marc Doisne
Montage : Sylvie Lager ; Décors : David Faivre
Assistant de réalisation : Julien Le Roux
Conseiller technique : Guillaume Poyet

lechene-lefilm.com

Directeur de production : Philippe Baisadouli
Compositeur musique originale : Cyrille Aufort
Chanson originale Et tu restes : Tim Dup

Producteurs : Barthélémy Fougea - Michel Seydoux
Coproduction : Camera One - Winds - Gaumont, avec :
Fondation Didier et Martine Primat - JMC Family Office
Fondation famille Lemarchand, avec le soutien de Mercator
Avec la participation : du Muséum national d'Histoire naturelle
- de l’Office National des Forêts - et de l’UNESCO
Avec le soutien : du Département de Loir et Cher - du Crédit Mutuel
- du Groupe Christian Mahout - et de la MAÏF
Distribution France et internationale : Gaumont