...
Étude Évolution des mobilités dans le Grand Paris
Tendances historiques, évolutions en cours


(1) L’évolution de la mobilité de 1976 à 2020, à Paris et dans la MGP
Une augmentation de la mobilité des Franciliens et des métropolitains, depuis les années 1990
La diminution des déplacements en voiture, une tendance qui se confirme et qui s’étend
La marche à pied, le mode majoritaire à Paris et qui le devient en Petite Couronne


Introduction

Les pratiques et habitudes de mobilités du quotidien ont largement évolué ces dernières années et sont actuellement requestionnées par les contextes des grèves et surtout de la crise sanitaire obligeant la ville et chaque habitant à une nouvelle forme de résilience. Ces évolutions, en termes de mobilité, sont notamment portées par l’apparition de nouvelles offres de mobilité - développement des réseaux de transports collectifs, apparition de nouveaux modes de transports, innovation dans l’accès à l’information… - dont les répercutions sont quasi immédiates, et observables sur les pratiques des habitants.

Il convient toutefois de distinguer les changements conjoncturels des évolutions plus profondes, ancrées depuis plus longtemps et évoluant parfois de façon plus lente mais plus pérenne, traduisant un changement profond des habitudes et pratiques de la population, déjà engagé depuis parfois plusieurs décennies.

Dans cette étude, l’Apur s’attache à identifier ces évolutions qui paraissent à première vue récentes mais pourraient être considérées comme des évolutions amorcées depuis plusieurs décennies, et ainsi témoigner d’une évolution de long terme de nos habitudes de mobilité. Depuis les années 60, on a cherché à mieux connaître et quantifier les déplacements des franciliens.

Depuis le milieu des années 70, nous disposons en Île-de-France de données périodiques permettant d’avoir une vision statistique consolidée des pratiques de déplacements des franciliens, via les 7 Enquêtes Ménages Déplacements réalisées depuis 1976, et dont les premiers résultats de l’enquête de 2018, pilotée par Île-de-France Mobilités et co-financée par la DRIEA, viennent d’être publiés par l’Observatoire de la mobilité en Île-de-France. C’est en analysant les résultats de ces enquêtes successives, et l’évolution de l’offre conduite en parallèle, que l’étude vise à faire émerger et distinguer les tendances structurelles et conjoncturelles.

Enfin, le contexte très récent (2019/2021) et les évolutions futures sont abordées au regard des projets en cours ou à l’étude dans le Grand Paris. Ces évolutions s’orientent selon plusieurs axes dont la recherche de l’innovation technologique visant à améliorer les performances environnementales des véhicules d’une part, le développement d’une offre alternative aux modes les plus polluants d’autre part, et enfin en prenant en compte le recentrage sur la mobilité de proximité constaté tout récemment. Un panorama des projets et évolutions futures de la mobilité est esquissé dans le but d’entrevoir les axes de développement de la mobilité et de ses différentes formes dans les années à venir.

© Photographe : Adolphe Braun / © CC0

1855
© Apur – Vincent Nouailhat


2021
© CC by : Captainm – SA – 3.0

2013
© Apur – Vincent Nouailhat


Et demain ?
 

Une augmentation de la mobilité des franciliens et des métropolitains, depuis les années 1990

La mobilité individuelle des Franciliens augmente depuis le début des années 1990, d’abord portée par l’augmentation des déplacements réalisés en voiture, puis par l’augmentation de la marche à pied, et enfin des transports collectifs depuis les années 2000.

Depuis 1976, la mobilité des Franciliens n’a cessé de croître, pour atteindre en 2018 près de 43 millions de déplacements quotidiens tous modes confondus, soit plus de 180 millions de kilomètres parcourus chaque jour.
En 40 ans, le nombre de déplacements réalisés a considérablement augmenté, passant d’un peu plus de 30,3 millions de déplacements quotidiens en 1976 à plus de 42,7 millions en 2018. Si cette augmentation fulgurante du nombre de déplacements est d’abord liée à l’augmentation de la population francilienne - 9,9 millions d’habitants en 1975 et 12,2 millions en 2018 -, elle est également due à une augmentation de la mobilité individuelle depuis les années 90, traduisant un changement plus profond de nos modes de vie et de notre manière de vivre la ville.

L’augmentation des déplacements est constatée dans tous les territoires et toutes les liaisons, bien que toutefois plus marquée pour les déplacements internes à la Petite Couronne et à Paris. Ces derniers, après une baisse régulière entre 1976 et 2001, connaissent une croissance très marquée, avec une augmentation de 34 % des déplacements réalisés dans Paris entre 2001 et 2018, notamment du fait d’une augmentation significative des déplacements réalisés à pied : + 2,1 millions à Paris et +1,8 millions en Petite Couronne entre 2001 et 2018.

En outre, en 2018, la marche est le mode principal de déplacements à l’échelle régionale, notamment du fait de sa forte utilisation sur les déplacements de proximité, fortement représentés dans les déplacements internes à Paris et en Petite et Grande Couronne, dont le nombre a fortement augmenté. La voiture représente encore plus du tiers des déplacements régionaux et les transports collectifs 22 %.

Alors qu’elle était stable depuis 1976, année de la première Enquête Globale Transport, la mobilité des Franciliens pour un jour ouvrable est passée, entre 2001 et 2010, de 3,50 à 3,88 déplacements par personne et par jour. La mobilité individuelle des habitants de la région présentait donc une tendance à la hausse qui, au vu des premiers résultats de l’Enquête Globale Transport de 2018, semble avoir atteint un plafond, stagnant aux alentours de 3,8 déplacements par personne et par jour en 2018.

Évidemment, cette moyenne cache en réalité de fortes disparités. Avec 4,3 déplacements quotidiens en 2018, les Parisiens sont ceux qui se déplacent le plus tandis que 7 % des Franciliens ne se déplacent pas un jour donné. De même, la part des personnes non-mobiles est plus élevée dans certaines catégories de population : une personne sur 10 parmi les 60-74 ans, 2 personnes sur 10 parmi les personnes âgées de 75 ans et plus, par exemple. La mobilité individuelle dans la métropole du Grand Paris - ici assimilée à Paris + Petite Couronne - atteint 3,93 déplacements quotidiens par personne, ce qui constitue un record depuis la première enquête de 76. En outre, cette mobilité individuelle est en croissance depuis près de 20 ans, et continue de croître sur le territoire métropolitain, tandis qu’elle semble stagner, voir en déclin, en zone moins dense de Grande Couronne.

La croissance de la mobilité individuelle a été successivement portée par la croissance de l’usage de différents modes de déplacements. Entre 1976 et 1997, c’est principalement la mobilité quotidienne en voiture qui explose, tandis que l’usage de la marche est en déclin, alors qu’elle était le mode principal de déplacement à l’échelle de la région en 1976.

À partir de 2001, on observe un changement fondamental dans les pratiques, qui se prolonge actuellement avec une baisse de l’usage de la voiture, et une augmentation de la mobilité à pied et en transports en commun ; et plus récemment, et dans une moindre mesure, à vélo.

Ainsi, malgré une baisse de l’usage de la voiture engagée depuis 1997, et grâce à l’augmentation de la marche à pied et des transports en commun, la mobilité individuelle a continué de croître jusqu’en 2010, pour atteindre un plateau qui se confirme en 2018.

L’avenue des Champs-Élysées depuis l’Arc de Triomphe
© Apur - François Mohrt

© Apur

Nombre de déplacements par jour, tous modes confondus, selon les liaisons
Sources : EGT H2020, Île-de-France Mobilités, OMNIL, DRIEA / Résultats partiels 2018

La part modale en 2018, à l'échelle de l'Île-de-France

Sources : EGT H2020, Île-de-France Mobilités, OMNIL, DRIEA / Résultats partiels 2018 - Traitement Apur


Utilisatrice d’un Vélib’ © JeanLuclchard / Shutterstock.com

Nombre de déplacements quotidiens réalisés en voiture, selon le type de liaison, en milliers

Sources : EGT 2010, STIF, OMNIL, DRIEA, EGT H2020, ÎdF Mobilités, OMNIL, DRIEA / Résultats partiels 2018 - Traitement Apur


Évolution de la mobilité quotidienne individuelle en voiture selon la zone de résidence :
Nombre moyen de déplacements par jour et par personne, un jour de semaine
Sources : EGT H2020, Île-de-France Mobilités, OMNIL, DRIEA / Résultats partiels 2018

La diminution des déplacements en voiture, une tendance qui se confirme et qui s’étend

La baisse de l’usage de la voiture a débuté dès les années 90 à Paris, pour s’étendre au début des années 2000 en Petite Couronne, tandis que l’usage de la voiture semble plafonner en Grande Couronne. À l’échelle de l’Île-de-France, la tendance à la baisse du trafic routier et de l’usage de la voiture tend à se confirmer depuis le début des années 2000, tendance qui se vérifie tout particulièrement à Paris et en Petite Couronne.

Si à la fin des années 1990, la voiture constituait le mode de déplacement majoritaire, représentant plus de 45 % du total des déplacements réalisés en Île-de-France, son usage recule progressivement depuis, notamment dans le cœur de l’agglomération. Ainsi, le recul du nombre de déplacements quotidiens réalisés en voiture engagé depuis 1997 perdure, puisque l’on observe une évolution de - 5 % des déplacements réalisés en voiture entre 2010 et 2018 à l’échelle de la région. Cette diminution de l’usage de la voiture est constatée notamment à l’échelle de la Métropole du Grand Paris, où les déplacements en voiture ont baissé de 12 % entre 2010 et 2018, prolongeant ainsi une baisse déjà entamée depuis 2001. En 2018, les déplacements réalisés en voiture en lien avec la Métropole du Grand Paris - internes ou en liaison avec Paris ou la Petite Couronne - passent sous la barre des 6 millions de déplacements.

Cette baisse est notamment portée par une réduction significative des déplacements en voiture intéressant Paris, qui ont quasiment été divisés par deux entre 2001 et 2018. Le phénomène est également visible pour les déplacements intéressant la Petite Couronne.

Attention, toutefois, si la part des déplacements réalisés en voiture diminue à l’échelle de la métropole, il convient de préciser que le nombre de déplacements tous modes confondus intéressants la métropole augmente. La réduction du nombre de déplacements en voiture n’est donc pas liée à une baisse de la mobilité, mais bien à une évolution des pratiques de déplacements impliquant un report modal depuis la voiture vers d’autres modes.

L’évolution de la mobilité individuelle quotidienne en voiture selon la zone de résidence met en avant une réduction de l’usage de la voiture enclenchée depuis 1991 pour les Parisiens, et, depuis le début des années 2000, pour les habitants de la Petite Couronne, et globalement de la zone dense où l’offre alternative est attractive.

Un réseau structurant routier arrivé à saturation, des heures de pointe qui s’allongent malgré la baisse du trafic

La baisse de la mobilité en voiture a des impacts forts sur le trafic routier. À Paris en premier lieu, avec une diminution de - 31 % de la circulation sur la période 2001-2015. Mais aussi sur le réseau autoroutier intra-A86, comme le soulignent les comptages de l’État et de la Ville de Paris, avec - 9 % de trafic sur le Boulevard périphérique, et - 6 % sur les autoroutes radiales entre 2001 et 2010. Toutefois, ce ralentissement global de l’usage de la voiture ne signifie pas pour autant la fin de la congestion et de ses nombreuses externalités négatives : plus de 300 km cumulés d’embouteillages sont toujours recensés en moyenne, aux périodes de pointe sur les autoroutes et voies nationales d’Île-de-France.

La baisse du taux de motorisation des ménages

La baisse du taux de motorisation des ménages engagée ces 20 dernières années dans la MGP débute dans Paris, puis s’étend en Petite Couronne et à l’ensemble des territoires et communes de la MGP. Cette baisse de la mobilité automobile s’accompagne d’une baisse de la motorisation des ménages, particulièrement visible à Paris, où le nombre moyen de véhicules par ménage est passé de 0,52 en 1990 à 0,39 en 2017, retrouvant ainsi son niveau historique de 1975.

Même tendance à la baisse dans la métropole, où le taux de motorisation est passée de 0,73 voiture par ménage en 1999, son taux le plus élevé, à 0,66 en 2017. À l’échelle de la région, la diminution du taux de motorisation semble plus récente, notamment du fait d’une augmentation de ce taux en Grande Couronne jusqu’en 2007. En effet, dans certains secteurs, les manques de desserte en transports collectifs et de moyens de rabattement sur les gares ne permettent pas une réduction importante : la voiture garde une place prépondérante et le taux de motorisation y est encore élevé.

L’analyse historique de l’évolution du taux de motorisation des ménages par commune montre clairement un changement dans les habitudes débutant dans Paris et s’étendant progressivement aux communes les plus proches allant jusqu’à se généraliser à l’échelle de la Métropole. En effet, jusqu’en 1982, le taux de motorisation des ménages augmente pour la quasi-totalité des communes. À partir de 1982, on observe une stabilité de ce taux dans Paris et certaines communes de la Petite Couronne. Dans les années 90 cette stabilité du taux de motorisation des ménages se généralise et devient la norme pour presque toutes les communes. À partir de 1999, une baisse du taux de motorisation est constatée dans certains arrondissements de Paris et quelques communes de Petite Couronne. Depuis 2007, la baisse de motorisation des ménages est constaté dans une majorité de communes de la Métropole ainsi que l’ensemble des arrondissements parisiens.
Si le taux de motorisation des ménages a diminué de 3 % en 10 ans à l’échelle de l’Île-de-France ; cela cache de grandes disparités :

  • entre 2007 et 2017, le taux de motorisation des ménages parisien a baissé de 17,2 % pour atteindre 0,39 véhicule/ménage en 2017
  • dans les 131 communes de la MGP, l’évolution du taux de motorisation des ménages est de - 7 % entre 2007 et 2017. Le taux de motorisation moyen est de 0,66 véhicule/ménage en 2017
  • hors Paris, le taux de motorisation des ménages a baissé de - 4,9 % dans les communes de la MGP, pour atteindre 0,82 véhicule/ménage en 2017.

Parmi les 12 territoires constituant la MGP, la baisse du taux de motorisation des ménages est généralisée sur la période 2007-2017. Toutefois, elle est moins marquée dans les territoires les plus éloignés du centre de la métropole : Paris Terres d’Envol, Grand Paris Grand Est, et Grand Paris Sud Est Avenir. À noter qu’en 2017, le taux de motorisation des ménages est inférieur à 1 véhicule par ménage dans l’ensemble des territoires de la MGP.

Évolution du taux de motorisation des ménages entre 2007 et 2017

Enfin, si le parc automobile à la disposition des ménages à l’échelle de Paris tend encore à diminuer aujourd’hui, cette tendance est relativement ancienne, puisqu’elle date du début des années 1990. Toutefois, à l’échelle de la Petite Couronne, le parc automobile a continué de s’accroître jusqu’en 2010, enregistrant des hausses importantes entre 1976 et 1983 (+ 19 %), mais également, dans une moindre mesure, entre 2001 et 2010, passant de 1 590 000 véhicules à 1 670 000 (+ 5 %). Cette augmentation du parc automobile constatée à l’échelle de la région jusqu’en 2010, et notamment portée par l’augmentation de la population francilienne ; connaît tout récemment une inflexion, puisqu’un recul du parc automobile est observé entre 2010 et 2018 en Petite Couronne (- 5 %) et une stabilisation en Grande Couronne.
En conclusion, cette tendance à la baisse de la mobilité de la voiture à l’échelle de la métropole, bien que relativement récente et fragile, se confirme, et les résultats détaillés de l’Enquête Globale Transport de 2018 vont également dans ce sens. Cette évolution des usages, notamment à Paris, est liée à de profonds changements de comportements et une offre nouvelle, proposant de nombreuses alternatives à la voiture.
Ainsi, l’évolution récente de la mobilité a profité aux modes alternatifs à la voiture : les modes actifs, marche à pied et vélo, en premier lieu, mais également les transports en commun, et dans une moindre mesure, les trottinettes en libre-service et les VTC. On assiste donc à une réduction de l’usage des parkings en ouvrage dans Paris d’une part, et à une baisse du taux d’équipement des ménages qui renoncent à la propriété de leur véhicule, soit au profit d’un autre mode de déplacement, d’un autre type d’équipement - vélo, VAE, trottinette électrique… - ou à un report vers la location, ou l’autopartage.

Évolution du taux de motorisation selon la zone de résidence Source : Insee, recensements


Un embouteillage porte de Bercy, dans les années 1980

Embouteillage place de la Concorde, en 1980

Circulation au niveau du boulevard de Sébastopol, en 1980

Évolution du taux
de motorisation





Le parc Rives de Seine rendu piéton, au niveau de la place du Châtelet, en 2018
© Apur – Clément Pairot

La marche à pied, le mode majoritaire à Paris et qui le devient
en Petite Couronne

L’évolution à la baisse de l’usage de la voiture particulière dans la mobilité des habitants de la métropole a été concomitante non seulement d’une croissance des transports collectifs, mais aussi d’une hausse des modes actifs, et notamment de la marche à pied.
En 2018, la marche était d’ailleurs le premier mode de déplacement en Île-de- France, avec environ 17,2 millions de déplacements réalisés exclusivement à pied quotidiennement, soit environ 40 % du nombre total de déplacements.
D’autant plus que ce chiffre ne reflète pas la totalité de l’usage de ce mode de déplacement, puisque les déplacements en transports collectifs impliquent aussi nécessairement des trajets à pied. C’est le mode dominant à Paris et en Petite Couronne, puisque presque 1 déplacement sur 2 réalisé par un habitant de la métropole s’effectue à pied en 2018. Enfin, entre 2010 et 2018, les déplacements à pied intéressant Paris ou la Petite Couronne ont augmenté de + 13 %, une hausse particulièrement significative.
La marche à pied est un mode en pleine croissance, notamment pour les Parisiens, pour qui la mobilité individuelle à pied a augmenté de plus de 45 % entre 2001 et 2018 ; et pour les résidents de la Petite Couronne, qui ont augmenté leur mobilité individuelle à pied de 18 % sur la même période.
La pratique de la marche à pied, premier mode de déplacement, connaît un essor important depuis les années 2000, essor particulièrement marqué à Paris, mais également dans la Petite Couronne.


Rue Montorgueil © Apur – Clément Pairot

Boulevard de Rochechouart © Apur
 

.......
Entre 2001 et 2010, le mode d’enquête pour la marche a changé. Cette évolution méthodologique accentue la hausse de petits déplacements - l’attention plus forte portée au recueil des déplacements courts - et de la marche à pied. Cependant, cette évolution méthodologique se cumule à une augmentation réelle de la marche, au travers d’un changement des comportements. Augmentation toujours visible entre 2010 et 2018..
......

 
...
........
....... .Étude Évolution des mobilités dans le Grand Paris Tendances historiques, évolutions en cours

.........
 




© Apur

 

......
L’Apur, Atelier parisien d’urbanisme, association loi 1901, réunit autour de ses membres fondateurs, la Ville de Paris et l’État,
les acteurs de la Métropole du Grand Paris.
Ses partenaires sont :

Directrices de la publication : Dominique ALBA, Patricia PELLOUX
Étude réalisée par Pauline CHAZAL, Vincent NOUAILHAT, sous la direction de Patricia PELLOUX, avec le concours d'Anaïs LO PINTO, Sandra ROGER
Cartographie et traitement statistique : Christine DELAHAYE - Photos et illustrations : Apur sauf mention contraire

apur.org