Étude Espaces publics à végétaliser à Paris

(2) Les enjeux écologiques et de biodiversité

Des corridors urbains de biodiversité à conforter

Renforcer la fonctionnalité des corridors urbains de biodiversité
Étendre le maillage des corridors urbains de biodiversité à Paris


La Ville de Paris s’est depuis 20 ans engagée pour offrir plus de nature à ses habitants, avec une offre de parcs et de jardins, mais aussi
en encourageant une large végétalisation du bâti et des espaces publics. L’étude porte sur une identification de sites qu’il conviendrait de végétaliser au regard : de critères morphologiques et historiques ; de critères liés au développement des corridors écologiques ; de réduction
de l’effet de l’îlot de chaleur et de réduction des zones de carence en végétation ; de critères urbains de centralités et des équipements ;
et de critères d’opportunité : projets engagés sur les portes de Paris, le Boulevard périphérique et la Ceinture verte, les bords de Seine,
les axes vélo et les infrastructures en sous-sol. Ces évolutions vont transformer durablement les pratiques et les aménagements
de l’espace public parisien, et cette étude pourra être un socle commun pour nourrir les échanges et choix à venir.

Les enjeux écologiques et de biodiversité

Préserver les espaces à enjeux écologiques et de biodiversité et améliorer leur cohérence sur le territoire francilien en restaurant ou en créant des continuités écologiques sont des objectifs ambitieux et essentiels.

La Ville de Paris s’est ainsi engagée lors du Conseil de Paris de février 2013 à mettre en œuvre le Schéma Régional de Cohérence Écologique d’Île-de-France, adopté le 21 octobre 2013, à travers la préservation des grandes continuités écologiques de son territoire : Ceinture verte, Petite Ceinture ferroviaire, Seine, canaux et bois parisiens. Sa déclinaison locale, la Trame verte et bleue de Paris, se structure actuellement sur le territoire parisien.

© Apur

Les espaces verts - bois, parcs, jardins, cimetières, friches -, les milieux aquatiques - Seine, canaux, lacs, étangs, mares, bassins -, les voies de communication - berges de la Seine, voies ferrées, tunnels, rues, trottoirs - et le bâti - façades, toitures, murs - participent au maillage du territoire et au maintien des continuités écologiques jusqu’au coeur de la ville dense.

Comme le souligne l’action 20 du plan biodiversité 2018-2024, l’enjeu de renforcement du maillage écologique de Paris implique d’accentuer la végétalisation de l’espace public, qui recèle des potentialités importantes en matière de continuités, partout où cela est possible au regard des contraintes techniques, de nettoiement et de gestion.
À ce titre, nous analyserons ici 3 types de voies pouvant renforcer les corridors urbains de biodiversité :

  • les voies identifiées en tant que corridors urbains de biodiversité dans le schéma des trames vertes et bleues parisien ;
  • les autres voies plantées de plus de 19 m de large ;
  • les voies non plantées de plus de 19 m de large.

L’étude des enjeux de continuité écologique des voies de plus de 19 m est complétée par une analyse de l’ensemble des voies de 11 à 19 m de large. Ces voies, qui représentent 1/3 du linéaire des voies parisiennes, peuvent contribuer à la mise en réseau de voies structurantes dans le cas de grands tracés telles que les voies royales ou les rues de faubourgs. Elles peuvent également contribuer à la fonctionnalité et la mise en réseau des continuités en pas japonais, dans des rues locales situées à proximité des espaces verts publics et privés ainsi que des écoles.


Promenade plantée sur le boulevard de Clichy (IXe), corridor de biodiversité secondaire © Apur

 
16 % de la surface de Paris qualifiée en Réservoirs Urbains de Biodiversité - 115 km de corridors urbains de biodiversité sur voirie  

Des corridors urbains de biodiversité à conforter

Bien que le territoire parisien soit quasiment entièrement artificialisé, 16 % de la surface de Paris est qualifiée en Réservoirs Urbains de Biodiversité. Ces réservoirs, dont font notamment partie les bois de Vincennes et de Boulogne, sont les principaux espaces sources de biodiversité dans Paris et ils doivent s’inscrire dans une continuité écologique afin d’éviter que les milieux qui les composent ne s’appauvrissent. En effet, faute de pouvoir circuler et renouveler leur patrimoine génétique, les populations de plantes et d’animaux s’affaiblissent et résistent moins aux pollutions et au changement climatique.
Ceci est d’autant plus important à Paris, où les espèces qui composent la biodiversité présentent des populations souvent réduites, parfois en déclin, et qui se maintiennent avec difficulté dans des espaces restreints.

L’étude des trames verte et bleue de Paris a abouti à la publication des Chemins de la Nature - État des lieux en 2018. Cette publication de la Ville de Paris comprend la carte des réservoirs de biodiversité constituée par les espaces verts parisiens de plus d’un hectare qui permettent à la biodiversité de se développer de manière plus ou moins durable. Ils sont qualifiés selon 3 catégories : réservoirs urbains de biodiversité fonctionnels, réservoirs urbains de biodiversité secondaires et espaces relais.
Cette carte intègre également les grandes continuités écologiques, comme les voies plantées, la Petite Ceinture ferroviaire, les canaux parisiens, les aqueducs gérés par Eau de Paris et les liaisons avec les communes riveraines. Ces corridors linéaires ont été identifiés et qualifiés du point de vue du piéton, en recherchant les axes végétalisés ou aquatiques reliant entre eux les réservoirs. Ce sont ainsi 180 km de corridors urbains de biodiversité identifiés dans la capitale.
Ces corridors empruntent à 64 % - 115 km - des voies plantées, qui ont la particularité d’être exclusivement des voies de plus de 19 m de large, et à 36 % - 65 km - les faisceaux ferrés, la petite ceinture et les berges de Seine et des canaux. La Seine et ses berges constituent un ensemble écologique identifié au niveau national. Les canaux parisiens relient le nord-est de la capitale aux territoires voisins. Leur requalification en cours - végétalisation, habitats - renforcera leur rôle. La voie ferrée de Petite Ceinture compte parmi les corridors les plus fonctionnels de la capitale, reliant quelques-uns des plus grands parcs parisiens.

Les corridors urbains de biodiversité sont qualifiés de favorables à 38 % - 68 km -, secondaires à 21 % - 38 km - et potentiels à 41 % : 75 km.
Un corridor favorable est un linéaire possédant, dans sa structure et son architecture végétale, les qualités nécessaires pour assurer les mouvements de la faune et de la flore d’un réservoir de biodiversité à un autre. Les 5 corridors favorables sur voirie sont l’avenue Foch (XVIe), le boulevard de Montmorency (XVIe), le boulevard Péreire (XVIIe), l’avenue de l’Observatoire (XIVe) et la rue Vercingétorix (XIVe).

Un corridor secondaire est un linéaire plus ou moins continu composé d’un minimum de deux sous-trames (arborée, arbustive, herbacée ou minérale) dont certains éléments sont encore à améliorer pour atteindre un niveau de fonctionnalité supérieur.
Les 25 corridors secondaires sur voirie sont le boulevard Bourdon (IVe), le boulevard de Port Royal (Ve), le boulevard Arago (Ve), le boulevard Saint-Marcel (Ve), le boulevard de l’Hôpital (Ve) partiellement, l’avenue de Lowendal et l’avenue de Saxe (VIIe), l’avenue de Breteuil (VIIe), le boulevard Pasteur (VIIe), le boulevard de Clichy (IXe-XVIIIe), l’avenue Parmentier (XIe) partiellement, l’avenue Daumesnil (XIIe) partiellement, le cours de Vincennes (XIIe), le boulevard Vincent Auriol (XIIIe), l’avenue de Choisy (XIIIe) partiellement, le boulevard Saint-Jacques (XIVe) et le boulevard Auguste Blanqui (XIIIe), l’avenue René Coty (XIVe), l’avenue Georges Mandel et l’avenue Henri Martin (XVIe), le boulevard Flandrin (XVIe), le boulevard Exelmans (XVIe), l’allée Darius Milhaud (XIXe), l’avenue Jean Jaurès (XIXe), et la rue Sorbier (XXe).

Les 6 photos : © Apur

Un corridor potentiel est un linéaire plus ou moins continu dont la diversité des sous-trames est généralement réduite à une seule et dont les aménagements en faveur de la biodiversité sont à renforcer pour atteindre une qualité écologique supérieure. Les 39 corridors potentiels sur voirie sont notamment le boulevard Saint-Germain (VIIe), le boulevard Voltaire (XIe), le boulevard Bonne Nouvelle (Xe) et le boulevard Raspail (VIe-XIVe).


Extrait des Chemins de la Nature, carte annexée au Plan Biodiversité validé en mars 2019
© Ville de Paris - DEVE

Les corridors urbains de biodiversité sont qualifiés de favorables à
38 % - 68 km -, secondaires à 21 % - 38 km - et potentiels à 41 % : 75 km

 
Boulevard Pereire (XVIIe), corridor favorable
Boulevard Arago (XIVe), corridor secondaire

Avenue du Président Wilson (XVIe), corridor secondaire

Rue Vercingétorix (XIVe), corridor favorable

Boulevard Voltaire (XIe), corridor potentiel


Boulevard Beaumarchais (XIe), corridor potentiel

Renforcer la fonctionnalité des corridors urbains de biodiversité

Ces trames vertes et bleues sont à renforcer partout à Paris. Cela consiste à augmenter le nombre de réservoirs de biodiversité et de corridors urbains en poursuivant la qualification écologique du territoire parisien d’une part et en créant de nouveaux espaces de biodiversité terrestres et aquatiques d’autre part.

L’attention devra être portée en particulier sur la réduction des fragmentations liées à la voirie, en créant des continuités écologiques : promenades plantées favorables à la biodiversité sur l’espace public - contre-allées, terre-pleins centraux, réaménagement des places -, en cohérence avec les moyens de gestion disponibles. Il s’agira également d’améliorer la perméabilité en diversifiant les trames - strates arborées/arbustives/herbacée -, et les essences et espèces végétales : arbres fruitiers, plantes nectarifères, arbustes à baies…

L’ensemble de ces corridors a fait l’objet d’une description fine de ces composantes et en particulier de la qualité et de la continuité des différentes sous-trames qui les composent par l’agence d’écologie urbaine de la Ville.

Il en ressort que les 115 km de corridors de biodiversité identifiés sur la voirie parisienne comprennent :

  • 100 km de sous trame arboré - 87 % des corridors -, continue sur 83 % de son linéaire - 83 km - et moyennement continue sur 17 km ;
  • 22,5 km de sous-trame arbustive - 20 % des corridors -, continue sur 42 % de son linéaire ;
  • 22,8 km de sous-trame herbacée - 20 % des corridors -, continue sur 59 % de son linéaire.

Ces informations, d’une très grande qualité, méritent d’être affinées au regard de la pression urbaine exercée sur ces corridors afin de juger du potentiel renforcement de leur fonctionnalité écologique et des formes de végétalisation à développer.

Pour apprécier cette pression urbaine, nous nous sommes reportés à la cartographie des centralités urbaines établie par l’Apur. Il ressort de cette analyse que, sur les 115 km de corridors urbains de biodiversité établis sur la voirie parisienne, 56 % se situent dans des secteurs de centralités urbaines. Ce sont :

  • 28 km de corridors dans des secteurs de centralité globale d’échelle métropolitaine ;
  • 14 km dans des centralités locales de quartier ;
  • et 22 km dans des centralités mixtes.

Ces situations de centralités induisent de très fortes contraintes pour le développement de la végétation sur les trottoirs : piétinement, détritus, nettoiement, imperméabilisation, pollution lumineuse…

Sur les corridors inscrits dans des centralités urbaines, des actions de préservation et d’apaisement des pressions devront être menées. Les corridors situés hors centralités devraient faire l’objet de plantations denses et diversifiées pour assurer une fonctionnalité optimale.

L’enjeu de renforcement de la fonctionnalité des corridors écologiques est un enjeu qui doit être vu de pair avec l’enjeu de reconstituer la qualité et l’ampleur des promenades de Paris dont Alphand disait déjà qu’elles permettaient de renouveler l’air vicié d’une grande cité, […] et de procurer l’ombre, si nécessaire au nombreux public qui circule sur les voies magistrales de Paris.

Une sous-trame arborée de 100 km, continue à 83 % Source : Apur, DEVE
Une sous-trame herbacée de 22,8 km, continue à 59% Source : Apur, DEVE

Boulevard de Belleville (XIXe), corridor qualifié de potentiel dans une centralité, dont la qualité écologique est renforcée par des aménagements récents © Apur


Une sous-trame arbustive de 22,5 km, continue à 42% Source : Apur, DEVE

Source : Apur, DEVE
Corridors de biodiversité
et centralités urbaines
Boulevard de Belleville (XIXe), corridor qualifié de potentiel dans une centralité, dont la qualité écologique est à renforcer © Apur

Étendre le maillage des corridors urbains de biodiversité à Paris

Les voies de plus de 19 m de large, un potentiel riche pour les continuités de biodiversité

Pour assurer le maintien et le renforcement de la biodiversité à Paris et dans la zone urbaine dense, le maillage des corridors urbains de biodiversité doit pouvoir s’étendre à l’ensemble des voies de plus de 19 m de large - qu’elles soient aujourd’hui plantées ou non - et être complété en mobilisant le potentiel des anciennes voies royales et rues de faubourg.

Ainsi, il est important de pouvoir travailler à l’inscription de l’ensemble des voies larges et plantées dans le schéma des trames vertes et bleues parisiennes :

  • les 115 km de corridors urbains de biodiversité représentent 16 % de l’ensemble des voies plantées de plus de 19 m de large : 508 km ;
  • les 393 km non-inscrits dans ce schéma des trames vertes et bleues offrent un potentiel pour étendre considérablement la perméabilité du tissu urbain dense, en renforçant la continuité arborée, la diversité des strates végétales et la qualité écologique de ces axes : sol perméable, présence de nichoirs…

44 % de ce linéaire se trouvent dans des secteurs de centralités urbaines. Ces voies devraient faire l’objet d’une attention particulière pour renforcer leur fonctionnalité écologique et assurer la continuité et la qualité des fonctions urbaines qu’elles accueillent, notamment par la réactualisation ponctuelle du bâti et des pieds de façade. Les voies hors de centralités urbaines - 66 % du linéaire - bénéficient d’une intensité d’usages moindre sur leurs trottoirs. La désimperméabilisation des pieds d’arbres et le développement d’une végétation adaptée permettra d’assurer la parfaite fonctionnalité écologique de ces voies.

Parmi les axes qu’il semble important de pouvoir analyser, notons :

  • l’axe Convention-Alésia-Tolbiac au sud ;
  • les rues E. Zola, Saint Charles et Félix. Faure (XVe) ;
  • les avenues Mozart, Victor Hugo et Poincaré dans le XVIe arrondissement ;
  • les avenues Ternes, Wagram et Clichy dans le XVIIe arrondissement ;
  • les voies Parmentier, Ledru-Rollin et Diderot dans l’est parisien ;
  • ainsi que le prolongement du boulevard de l’Hôpital par la rue Bobillot dans le XIIIe arrondissement.

L’ensemble des 215 km de voies de plus de 19 m de large non plantées, offrent un complément potentiel de maillage écologique à travers le tissu urbain dense de Paris.

Ces voies pourraient être végétalisées pour compléter le maillage des corridors et la connectivité des réservoirs, partout où cela est possible. 70 % d’entre elles sont situées dans des centralités urbaines. Ces voies devraient être analysées au regard du potentiel de liaison écologique qu’elles pourraient offrir ou mailler si elles étaient végétalisées. Les 30 % des voies larges situées hors centralité, devraient pouvoir devenir à court terme des corridors écologiques fonctionnels, intégrant des alignements d’arbres de grand développement, ainsi que l’ensemble des strates végétales sur des surfaces larges et continues, dans des dispositifs adaptés au contexte urbain : portes cochères, arrêts de bus, collecte des déchets ménagers…

La transformation du paysage de ces rues, aujourd’hui largement ouvertes sur le ciel et vers des points de vue pouvant être lointains ou remarquables, devra être prise en compte dans les projets d’aménagement pour s’y adapter et, le cas échéant, réduire la plantation à un seul côté de la voie, réaliser des plantations discontinues, ou encore choisir des essences au port étroit, sans que ces choix ne se révèlent contradictoires aux enjeux de fonctionnalité écologique de ce maillage.

 


723 km de voies de plus de 19 m de large

393 km de voies larges et plantées
pour renforcer les 115 km de corridors
de biodiversité parisiens
Source : Apur, DEVE

 

Boulevard Masséna (XIIIe), mail de platanes le long du tramway © Apur
Avenue de Ségur (XVe) © Apur

Avenue du Président Wilson (XVIe),
le long des jardins du Trocadéro
© Apur
Rue de Turbigo (IIIe) © Apur
 
Rue Monge (Ve) © Apur
Rue de Rennes (VIe) © Apur
Rue du Faubourg Saint-Antoine (XIe) © Apur
Rue de Rome (VIIIe) © Apur

Les voies royales et les rues de faubourgs, un potentiel pour renforcer les continuités écologiques

La voirie parisienne reflète aussi les différentes époques de son histoire. Les rues de faubourg et les anciennes voies royales ont ainsi structuré l’urbanisation de Paris avant les travaux d’Haussmann.

On recense aujourd’hui 176 km de ces voies structurantes antérieures au XIXe siècle. Ces voies sont en majorité des voies de 11 à 19 m de large. Ce sont : 95 km de voies de 11 à 19 m de large - 54 % -, 69 km de voies de plus de 19 m de large - 39 % -, 12 km de voies de moins de 11 m de large : 7 %.
Les voies royales et les rues de faubourg ont la particularité commune d’être de grands axes de circulation, des voies commerçantes, et de relier le centre de Paris aux communes riveraines - voies de faubourg - et aux grandes villes françaises : voies royales. Si les voies royales sont de grands tracés rectilignes, larges et plantées de part et d’autre d’alignements d’arbres de grand développement - elles préfigurent en cela les avenues et boulevards du XIXe siècle -, les rues de faubourg au contraire épousent le relief, s’élargissent à mesure qu’elles s’éloignent de Paris et sont généralement dépourvues de plantations.

La végétalisation de ces voies apparaît comme un potentiel intéressant à exploiter pour renforcer la place et le rôle de la nature en ville, et en particulier pour renforcer le maillage des corridors écologiques. Ces voies se développent souvent suivant des tracés organiques descendant de collines et générant des vues lointaines sur Paris. La végétalisation de ces voies implique de prendre en considération les vues lointaines qu’elles offrent et préférer, le cas échéant, une plantation unilatérale ou discontinue.

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Étude Espaces publics à végétaliser à Paris

L’Apur est une association qui réunit autour de ses membres fondateurs la Ville de Paris, l’État, et les acteurs de la Métropole du Grand Paris. ...
 


Cette étude a été réalisée en collaboration avec :

  • les services de la Direction des Espaces Verts et de l’Environnement, en particulier l’agence d’écologie urbaine, les services du paysage et de l’aménagement, de l’arbre et des bois, d’exploitation des jardins, des sciences et techniques du végétal et de l’agriculture urbaine ;
  • les services de la Direction de la Voirie et des Déplacements, en particulier le service de l’aménagement et des grands projets, l’agence de la mobilité ;
  • les services de la Direction de la Propreté et de l’Eau, en particulier le service technique de l’eau et de l’assainissement ;
  • les services de l’État : DRAC, DRIEE.

 

Directrice de la publication : Dominique Alba
Étude réalisée par : Yann-Fanch Vauléon
Sous la direction de : Patricia Pelloux
Avec le concours de : Luisa Coppolino
Cartographie et traitement statistique : Yann-Fanch Vauléon
Photos et illustrations : Apur sauf mention contraire

apur.org