Photoclimat est la première biennale environnementale et sociale
gratuite et en plein air qui se tient pendant un mois au cœur de
Paris et
en région parisienne. Elle a pour but de donner de la visibilité
à des ONG et Fondations à travers l’art photographique,
afin de rendre compte
de leurs actions au quotidien, de valoriser leur travail ainsi que celui
des personnes qui s’engagent auprès d’elles. À
travers un parcours d’expositions artistiques, événements
et rencontres portés par des ONG, la biennale offre à tous
les publics - grand public, jeune public,
acteurs et leaders de l’écologie, entreprises, pouvoirs publics
- une sensibilisation aux enjeux sociaux et environnementaux de notre
temps.
L’art et la culture sont utilisés comme médiateurs
dans cette manifestation unique, réunissant artistes et ONG autour
de l’engagement
citoyen. Des parcours pédagogiques sont également mis en
place pour toucher le jeune public, acteur du changement de demain.
Accessible à tous grâce à son format en extérieur,
Photoclimat mixe œuvres contemporaines et photographies de reportage
dans d’immenses scénographies éco-conçues,
qui intègrent le principe de l’économie circulaire
et du recyclage.
Rive
gauche - Place Saint-Sulpice
:
Nicolas Reynard x
Maisons du Voyage
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Nicolas
Reynard (France) - Amazonie
: nids éthiques
Je
m’applique à réaliser une véritable
iconographie qui, je l’espère, puisse faire écho
à la colère de ceux qui luttent pour protéger
les dernières ethnies libres. Nicolas Reynard aimait
l’Amazonie. Passionnément. Né un 4 juillet
1959, il avait cette idée que, par son travail de photographe,
il aiderait à mieux la faire connaître, et donc à
la protéger. Avec le ministère des Affaires indiennes
brésilien, il participait à des expéditions
chargées d’approcher des tribus inconnues, dans le
but de délimiter leur territoire et de préserver
leur avenir. Pendant des années, parallèlement à
son travail destiné aux magazines les plus prestigieux
de la presse internationale, dont le National Geographic, Le Figaro
Magazine, Paris-Match ou Géo, il partait au plus profond
de la forêt, puis en revenait avec des histoires extraordinaires,
rassemblant un témoignage exceptionnel sur ces peuplades
à l’écart du monde moderne. Nicolas n’a
jamais pu mener à terme son ambitieuse profession de foi.
Il est mort en reportage, le 11 novembre 2004, près de
Manaus avec le journaliste Joël Donnet : le petit hydravion
dans lequel ils survolaient la jungle amazonienne s’est
abîmé dans le Rio Negro. Il reste ces photographies
oubliées, émouvantes, d’une actualité
toujours plus vibrante, que nous avons exhumées de l’oubli
et que nous vous présentons.
©
NICOLAS REYNARD |
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Hors-les-murs
: Hoda
Afshar, David Bart, Pierre & Florent, Henrike Stahl
x Maison des Arts et de la Culture de Créteil et Festival
Mesnographies
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©
HODA AFSHAR |

©
PIERRE & FLORENT |
Hoda
Afshar, David Bart, Pierre & Florent, Henrike Stahl
Les
Mesnographies est un festival de photographie d’auteur en
plein air et gratuit dans les Yvelines. Vecteur d'émotions,
la photographie réunit, témoigne, donne à
réfléchir. Les sujets abordés dans cette
exposition sont liés à l’actualité,
à nos questionnements, aux faits de société.
Les
Mesnographies vous présentent chaque année depuis
4 ans les travaux d’une vingtaine de photographes du monde
entier. À travers leur regard ressortent des thèmes
forts comme la recherche d’identité, recréer
le passé pour donner un sens au présent. La soif
de liberté qui pousse certains à franchir les frontières.
La famille, centre de tous les bonheurs et de tous les malheurs.
L’intelligence artificielle versus le réchauffement
climatique. La guerre et son omniprésence.
Comme
au théâtre, certaines propositions sont autant d’histoires
racontées. Ici le photographe est le metteur en scène.
De cette balade Mesnographique naîtront des interrogations,
des émotions, de l’inattendu et une autre façon
de voir le monde. Le festival propose un voyage photographique
conscient et engagé.
Toujours le même souhait : continuer à prôner
l'inclusion, la tolérance et l'acceptation de l'autre tel
qu’il ou elle est. |
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Grand
Paris Sud Est Avenir : Brent
Stirton
- Nicolas
Henry
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Grand
Paris Sud Est Avenir (GPSEA) est un établissement public
territorial créé en 2016, regroupant 16 communes
du Val-de-Marne. Sa mission est de coordonner les politiques publiques
locales, pour améliorer la qualité de vie des habitants
et favoriser un développement harmonieux du territoire.
En favorisant la coopération entre les communes membres,
GPSEA s'engage à construire un territoire résilient,
inclusif et tourné vers l'avenir.
©
BRENT STIRTON
Sa
philosophie repose sur trois axes :
-
Transition
écologique : mise en œuvre d'un Plan Climat Air
Énergie Territorial pour réduire l'empreinte
carbone et promouvoir les énergies renouvelables ;
-
Développement
économique et solidaire : soutien aux entreprises locales,
notamment les TPE et PME, pour stimuler l'emploi et l'innovation
;
-
Aménagement
durable : élaboration d'un Plan Local d'Urbanisme intercommunal
visant à concilier urbanisation maîtrisée,
préservation des espaces naturels et amélioration
des infrastructures de transport.
Brent
Stirton
(États-Unis - Afrique du Sud) - Sauver
de l'extinction
Brent
Stirton est né à Cape Town, en Afrique du Sud, en
1969. Il a grandi à Johannesburg, avant de vivre à
New York, puis à Los Angeles. Staff Photographer à
l’agence Getty Images, il collabore principalement depuis
15 ans avec le National Geographic et le Figaro Magazine, pour
lesquels il a réalisé près d’une trentaine
de reportages sur la conservation et la défense du monde
animal. Rien n’évoque plus le talent de ce photojournaliste
que le profond respect que son nom inspire dans le milieu de la
protection de l’environnement. Pour lui, la photographie
est plus qu’une passion, un passe-temps ou un métier
: c’est un combat, acharné, permanent, crucial. Une
obsession. Une course contre la montre, comme il le rappelle
dès qu’il en a l’occasion. Un combat qu’il
mène dans des zones reculées où des guerres
invisibles mettent en péril l’avenir de l’héritage
naturel de notre planète. Depuis 2008 et sa fameuse photo
de rangers transportant la dépouille d’un gorille
dans le parc national des Virunga, Brent Stirton s’est efforcé
de conjuguer l’art subtil et délicat de l’image
fixe avec la rigueur minutieuse de l’enquête journalistique.
Je travaille parfois trois semaines pour simplement dix minutes
d’opportunité et photographier ce que je recherchais,
raconte-t-il. Un engagement chevillé au corps qui lui a
permis d’être récompensé par 13 prix
au World Press Photo, et le prestigieux premier prix du Natural
History Museum de Londres.
©
BRENT STIRTON |

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Camille
Gharbi, Laëtitia Ky, Floriane de Lassée -
Pôle Femmes x Darwin-L'écosystème |
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Darwin
Écosystème est un projet innovant situé à
Bordeaux, sur la rive droite de la Garonne, dans l’ancienne
caserne militaire Niel. Depuis 2011, ce lieu a été
transformé en un véritable laboratoire de transitions
écologiques, économiques et sociales, réunissant
entreprises, associations et citoyens autour d’un objectif
commun : expérimenter des modes de vie plus durables et
solidaires.
Une
mission : réinventer la ville par l’action collective
Darwin
se donne pour mission de répondre aux défis du changement
climatique et des inégalités sociales en créant
un écosystème urbain alternatif. Sa démarche
repose sur trois piliers :
-
Coopération
économique : favoriser les synergies entre acteurs
de l’économie verte et créative ;
-
Transition
écologique : réduire l’empreinte carbone
collective par des pratiques sobres et locales ;
-
Alternatives
citoyennes : encourager l’engagement et l’autonomie
des habitants.
Un
engagement social fort : Darwin Solidarités
Depuis
2013, Darwin héberge un Dispositif d’Accueil d’Urgence
pour des familles en situation de précarité. Sans
subvention publique, ce programme a permis plus de 110 000 nuitées,
avec un accompagnement global : logement, santé, apprentissage
du français, insertion professionnelle et activités
culturelles. |
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.Biennale
Photoclimat Un parcours d'expositions
photo en plein air
Nicolas
Henry et l’association Letourdunmonde lancent
la troisième édition de la Biennale
Photoclimat, du 12 septembre au 12 octobre 2025.
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Il
s’agit de valoriser la mission et les
plaidoyers des associations d’intérêt
général et des fondations afin
de bousculer/créer des prises de conscience
pour encourager les dons, le bénévolat
et le recrutement des talents.
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Encourager
les artistes à s’engager et ainsi
élargir le champ de représentation
des causes portées.
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L’association Letourdunmonde
L’association
a pour but d’élaborer, produire et présenter
des projets artistiques engagés. Elle créée
des liens entre l’art, la sphère associative,
et les experts, en questionnant les grands enjeux sociétaux
à travers la création. Elle mène
des actions en direction du grand public, en décentralisant
l’art des espaces culturels traditionnels, le rendant
ainsi accessible à tou.s.tes.
La Biennale Photoclimat s’inscrit également
dans une économie circulaire forte. Les scénographies
uniques et éco conçues sont fabriquées
de manière modulable et mobile, permettant ainsi
la circulation des projets artistiques dans la France
entière, une fois la Biennale terminée.
photoclimat.com |
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