Off du Développement Durable

Requalification du square Contenot-Decaen, Paris (XIIe)
Maison des étudiants de Marne-la-Vallée (77)
Construction inédite de 4 logements sociaux en béton de chanvre (XVIIIe)


Le Off du Développement Durable distingue les initiatives écoresponsables les plus novatrices, tant en architecture qu’en urbanisme.
Des projets pionniers mais aussi des démarches audacieuses, des méthodes, des modes de conception ou encore des modes de faire
à haute valeur ajoutée sociétale, aucun champ d’investigation n’est exclu.
Il a été lancé, en 2012, par l’ICEB et CO2D à Paris,
pour donner de la lisibilité aux projets aujourd’hui hors-normes, mais qui préfigurent les modes de faire,
les solutions architecturales et techniques de demain.

Requalification du square Contenot-Decaen

Faire mieux avec moins: une démarche frugale ?

Situé dans le XIIème arrondissement de Paris, le groupe immobilier Contenot-Decaen a été construit dans les années 1950 et s’inscrit dans un jardin arboré de près de 4 hectares. Le développement de nouveaux logements dans la partie sud du site fut l’occasion d’une requalification et une mise aux normes des espaces extérieurs et parties communes.

Ces dix dernières années, la résidence a connu un renouvellement d’une grande partie de sa population, qui a entraîné une rupture générationnelle entre les anciens habitants, présents depuis la construction, et les nouveaux arrivants, souvent plus jeunes et issus de milieux socioculturels beaucoup plus hétéroclites.
Notre réponse tente d’aller au-delà des strictes contingences d’une résidentialisation, elle s’appuie sur les demandes de mise aux normes et de sécurisation du site pour initier un dialogue entre les habitants et proposer une approche globale en mesure de répondre avec pertinence aux besoins réels constatés sur place.

Il était important pour nous de faire la démonstration du fort potentiel qui existe dans les opérations de résidentialisation, souvent cantonnées à de simples problématiques techniques et qui pourtant peuvent être l’occasion de vrais projets d’architecture qui redonnent du sens, génère du vivre ensemble, et sans que cela n’entraîne de surcoût.

Activer le paysage

Nous avons choisi de replacer le piéton au coeur du projet et de réintroduire une réelle qualité d’usage et de vie pour les habitants.

Après un diagnostic très fin des usages existants, nous avons profité des demandes du maître d’ouvrage pour proposer une refonte profonde du site.
Ainsi en plus de l’intégration de nouveaux services - tri sélectif, amélioration de l’accessibilité aux personnes âgées -, nous avons proposé la relocalisation des loges gadiens, réactivé des accès condamnés, et proposé deux espaces, l’un extérieur l’autre intérieur, volontairement non-prédéfinis.
Ces espaces sont le fruit d’une concertation avec les habitants qui a fait emerger des besoins supplémentaires mais parfois antinomiques.
Ainsi en était-il des espaces extérieurs. Certains voulaient des jeux pour enfants quand d’autres avaient peur des nuisances et des squats que cela ne manquerait pas d’engendrer.
Nous avons donc identifié des espaces où les dispositifs architecturaux seraient ouverts et flexibles.
La définition de leurs aménagements s’est faite durant le chantier en relation étroite avec les habitants.

Là où se trouvaient hier des espaces de ser vices et des voiries, se déploient aujourd’hui des venelles piétonnes et des espaces de rencontre.
La revalorisation du traitement paysager du parc vient souligner ces nouveaux usages, grâce au renforcement des espaces verts et une diversification des essences végétales.

Ouvrir une fenêtre citoyenne: le Jardin Enchantié

Nous voyons le chantier comme un moment de transformation qui peut devenir un champ de potentialité et d’expérimentation.
Nous avons ainsi voulu que le chantier soit l’occasion d’investir l’espace du jardin et de créer des interactions sociales entre les différents riverains.
A travers le projet du Jardin Enchantié, la démarche architecturale s’est accompagnée d’un volet social et culturel.
A raison de deux rendez-vous par mois, grâce à des ateliers collectifs, des animations et des interventions artistiques, nous avons tenté de créer les situations de rencontres à même de générer du vivre en semble et ainsi impliquer les habitants dans la conception et l’évolution de leur cadre de vie collectif afi n de les responsabiliser vis-à-vis de leur habitat et d’adapter le projet aux problématiques réelles.

Au terme du chantier, nous avons pu constater qu’un lien intergénérationnel s’était noué. Les habitants avaient commencés à se regrouper pour prendre en charge les espaces que nous avions laissés à leur libre appropriation.
Nous avons quitté les lieux en passant le relais à des associations du quartier ayant obtenu des financements de Paris-Habitat et dont le rôle sera d’accompagner les habitants jusqu’à l’autogestion.





 
Localisation/ Programme
Paris, 12ème arrondissement
Restructuration des espaces collectifs

Calendrier/ Superfi cie/ Coût

Livré en 2015
3,8 ha
4 300 000 € HT
Maitrise d’ouvrage/ Mission
Paris Habitat OPH
Etudes + chantier

Partenaires
Gérin-Jean Architecte (mandataire)
Jean-Michel Rameau (Paysagiste)
INCET (BET TCE, économiste)

 
Maison des étudiants de Marne-la-Vallée (77)

C’était une des fermes fortifiées archétypiques solidement implantées sur le plateau de la Brie, à Champs-sur-Marne. Une ferme menaçant ruine et partiellement démolie dont le paysage alentour témoigne pourtant de la grandeur passée. Biefs, fossés, douves, étangs, implantation du boulevard Descartes et allée du bois de Grâce font partie intégrante du patrimoine et constituent le fondement de l'urbanisation de la cité Descartes.

En réhabilitant ces corps de ferme de la Haute Maison pour y installer la Maison des étudiants de Paris-Est Marne-La-Vallée, l’objectif premier était de redonner toute son aura et toute sa force à ce lieu au coeur du campus universitaire.
La tâche était difficile, le sol effroyablement mauvais, et le bâtiment meurtri par des décennies d’inoccupation.
Réhabiliter ce genre de bâtiments, c’est avant tout s’offrir le luxe de volumes hors norme, d'espaces atypiques que le « neuf » ne permet pas d'obtenir.
Cette âme de l'existant justifie à lui seul, les reprises en sous-oeuvre et les fondations profondes nécessaires à leur conservation.
Pour mettre en valeur la massivité des murs et les belles charpentes, l’agence a recouvert l'ensemble d’une toiture unique qui s’étire d’un seul trait sur plus de 150 m de long. Celle-ci redescend en façade par endroit pour retrouver la composition originelle tripartie de l’ancienne ferme.
À la fois, protectrice, légère et technique, la toiture apporte toutes les conditions du confort moderne : une forte isolation thermique et acoustique, une lumière naturelle abondante et une protection solaire efficace. Les châssis fixes et toutes les émergences sont dissimulés derrière une résille d’aluminium à large maille qui unifie l'ensemble.
L’orientation et l’écartement de cette maille assurent la fonction de brise-soleil tandis que des ouvrants motorisés au nord complètent ce dispositif pour améliorer encore le rafraîchissement naturel en été.
De jour, le jeu aléatoire des verrières et des ouvertures est ainsi camouflé tandis que le soir, il prend toute sa saveur agissant comme une lanterne magique.

Par opposition à cette modularité et cette rigueur exacerbée de la toiture, le doublage intérieur est plus souple. Réalisé par une projection de béton et d’enduit chaux-chanvre, il accompagne les faux aplombs des murs. Ce matériau permet des échanges hygriques permanents entre l’intérieur et l’extérieur, indispensables à la préservation des murs anciens. Il joue le rôle de régulateur hygrothermique. Sa finition intérieure presque stuquée à l’aide d’une lisseuse manuelle japonaise à peine plus grande que la main constitue la preuve que l’on peut allier recherche, développement et geste artisanal.
Pour poursuivre le recours à des matériaux biosourcés, les parties neuves ont été construites en monomur de pierre ponce : un isolant naturel.
Ici tout est laissé apparent, brut, visible, pour ne pas oublier la simplicité des hangars agricoles : la technique est montrée. Il s’agit avant tout de mettre à la disposition de l’université un véritable outil pour que s’y développe toutes les activités.

À l’heure où tout est jetable, il nous paraissait important de livrer un bâtiment capable d’évoluer : un bâtiment encore là pour longtemps.


Maîtrise d’ouvrage

Région Île-de-France
Icade promotion Mandataire

Maîtrise d’oeuvre

Belus & Hénocq Architectes
Mission de base

Coût

4,2 M€ HT
Surface
1 977m2 SHON


Calendrier

Livraison en 2014

Performances environnementales

Réhabilitation
Label HQE bâtiment tertiaire
Construction inédite de 4 logements sociaux en béton de chanvre 

Réinterprétation de l’architecture Faubourienne

Situé au 37, rue Myrha, à Paris (XVIIIe), le projet se développe en plein coeur du secteur faubourien dit
Château rouge, actuellement en pleine mutation urbaine. Le plan masse, issu d’une organisation intérieure rationnelle des logements est constitué d’un volume de 10m x 12m implanté à l’alignement de la voie, ménageant à l’arrière un jardin partagé orienté au sud. Le dessin des espaces intérieurs est motivé par la prise en compte de l’usager alors que celui des façades poursuit un objectif clairement énoncé d’insertion dans le paysage urbain constitué de la rue.

Une matérialité innovante

Un projet exemplaire

Ce bâtiment discret pas son programme de 4 logements sociaux est exemplaire par sa technique innovante : ossature primaire métallique, ossature secondaire en bois avec remplissage en béton de chanvre. Conçu par les architectes de l’atelier North By Northwest architectes et le bureau d’études LM ingénieur, il se situe dans la tradition constructive parisienne d’une architecture à pans de fer et de bois et d’une esthétique faubourienne de façade lisse à la chaux.

Le béton de chanvre

Le projet est conçu en béton de chanvre projeté sur un fond de coffrage en Fermacell, plaqué sur une ossature secondaire en bois, elle-même fixée à une ossature primaire en acier. Matériau non structurel, conjuguant les qualités du chanvre et de la chaux, le béton de chanvre dote le projet d’un grand confort thermique et d’usage. Il permet une réduction importante des déperditions, la mise en place d’un chantier propre et l’établissement d’un bilan carbone positif. Sa légèreté, sa facilité de mise en oeuvre, sa rapidité d’exécution présentait ici, eu égard aux contraintes du site, un intérêt indéniable : fragilité du sous-sol, dimensions très réduites de la parcelle, étroitesse de la rue.

Le confort intérieur

Les espaces intérieurs confortables et rationnels permettent une habitabilité multiple. Les séjours sont orientés au sud sur le jardin établissant à R+1, R+2 et R+3 un contact direct avec celui-ci. Les baies s’ouvrent ainsi généreusement sur l’espace de vie. A R+4 et R+5, un recul entre fenêtre et garde-corps est aménagé afin d’accueillir des plantations, relai du jardin qui s’éloigne du fait de la prise de hauteur. Les chambres se situent au nord sur la rue. Ici des cadres en bois affirment la domesticité du seuil entre rue animée et espace d’intimité. Le confort intérieur des logements est conforté par les qualités du chanvre et notamment son effet de parois chaudes.

Intimité et espaces partagés

Le hall, visuellement ouvert sur la rue est éclairé naturellement. Largement dimensionné, il s’affirme comme un espace de rencontre entre habitants. Le jardin doté de potagers individuels hors-sol entend être un lieu de vie collectif. À cette sociabilité possible, répond un dispositif très intimiste de répartition des logements, à savoir un appartement par niveau et un duplex à R+4 et R+5. Chaque logement est doté d’une ouverture directe et large sur le jardin, permettant de bénéficier de celui-ci loin du tumulte de la collectivité. Côté rue, orientée au nord s’installent les chambres et les salles de bains dotées d’ouvertures étroites et cadrées permettant la mise à distance des nuisances de l’espace public et préservant la quiétude de ces lieux d’intimité.



CANDIDAT :

Richard THOMAS
Architecte associé
Agence North by Northwest
42 rue d’Avron 75020 Paris
01 47 70 03 08 nxnw@nxnw.fr



ÉQUIPE MOE :
North by Northwest : architectes
LM Ingénieur : BET thermique, structure, environnement
MDETC : économiste
ENTREPRISE : Tempere Construction
MOA : RIVP
TYPE DE PROJET :
Construction de 4 logements sociaux
PROGRAMME : 1 local d’activité + 3 logements T3 & 1 logement T5/6
ÉTAT D’AVANCEMENT :
Livré en septembre 2014
SURFACE : 522m² SHON
COÛT DE CONSTRUCTION : 1 489 280 €
LIEU : 37 rue Myrha, Paris (XVIIIe)

Une démarche éco-responsable


Qualité d’usage & spatiale

Le confort intérieur
Les espaces intérieurs confortables et rationnels permettent une habitabilité multiple. Les séjours sont orientés au sud sur le jardin établissant à R+1, R+2 et R+3 un contact direct avec celui-ci. Les baies s’ouvrent ainsi généreusement sur l’espace de vie. A R+4 et R+5, un recul entre fenêtre et garde-corps est aménagé afin d’accueillir des plantations, relai du jardin qui s’éloigne du fait de la prise de hauteur. Les chambres se situent au nord sur la rue. Ici des cadres en bois affirment la domesticité du seuil entre rue animée et espace d’intimité. Le confort intérieur des logements est conforté par les qualités du chanvre et notamment son effet de parois chaudes.

Intimité et espaces partagés
Le hall, visuellement ouvert sur la rue est éclairé naturellement. Largement dimensionné, il s’affirme comme un espace de rencontre entre habitants. Le jardin doté de potagers individuels hors-sol entend être un lieu de vie collectif. À cette sociabilité possible, répond un dispositif très intimiste de répartition des logements, à savoir un appartement par niveau et un duplex à R+4 et R+5. Chaque logement est doté d’une ouverture directe et large sur le jardin, permettant de bénéficier de celui-ci loin du tumulte de la collectivité. Côté rue, orientée au nord s’installent les chambres et les salles de bains dotées d’ouvertures étroites et cadrées permettant la mise à distance des nuisances de l’espace public et préservant la quiétude de ces lieux d’intimité.

Le Off du Développement Durable 2017

26 opérations frugales ont été sélectionnées

les premières leçons de la sélection
Ces 26 projets témoignent de la richesse d’une production écoresponsable, répartie sur l’ensemble des territoires, souvent sur de petites opérations qui préfigurent les standards de demain. Ces opérations démontrent une nouvelle fois que construire autrement est déjà possible dès lors que les acteurs des projets sont conscients de l’urgence à agir face aux enjeux du durable. Cette mise en lumière via le OFF du DD, a pour objectif d’entraîner la filière vers des projets plus vertueux et d’être initiateur de débat.
La première des constatations porte sur le nombre important de réponses reçues : moitié plus que lors du dernier millésime ! Parmi ces réponses, beaucoup plus de projets de paysage que précédemment. Ce qui nous permettra d’approcher ce que peut être un paysage frugal, dans sa relation au territoire et à ses habitants, avec notamment la réutilisation voire le recyclage des ressources du site, mais également des solutions adaptées à son entretien futur.
Alors que les années précédentes, nous avions surtout des projets développant une technique ou un enjeu durable particulier, cette année, la plupart des projets présentent une approche globale, holistique, abordant, dans leurs interactions, plusieurs thématiques innovantes dans le domaine de l’architecture, des matériaux, mais aussi dans les modes de faire et les relations au territoire.
La relation au territoire est, en effet omniprésente cette année. C’est d’abord l’adaptation au climat local, méditerranéen, tropical, montagnard…Mais, c’est aussi le choix difficile d’utiliser les matériaux locaux : la pierre plus chère que celle importée, la collectivité qui prépare le chantier, plusieurs années à l’avance à partir de l’exploitation des forêts communales… Ce sont encore des projets qui témoignent de réflexions sur l’utilité de l’équipement projeté pour le territoire : beaucoup de projets mettent en oeuvre des pratiques innovantes de tourisme ou de loisir, notamment en milieu rural. C’est enfin la mobilisation des acteurs locaux, entreprises, associations, citoyens autour d’un projet.
La mobilisation des acteurs autour du projet concerne aussi la participation des futurs utilisateurs de l’opération, bâtiment ou morceau de territoire : concertation, co-conception, chantier participatif… à l’occasion d’opération d’habitat participatif, mais aussi d’opérations aux modes de faire plus classiques.
Enfin, la sélection du OFF 2017 témoigne de la révolution qui se prépare dans les techniques et les matériaux. Pas de bâtiment connecté, pas de techniques complexes en mise en oeuvre et en entretien. Mais une véritable technicité est présente dans tous les projets, simple, réfléchie, utile, non polluante et non gaspilleuse, facilement réparable, modulable et recyclable. Elle permet de réduire, voire d’éviter les consommations de ventilation, de rafraîchissement ou même de chauffage. Dans le domaine des matériaux, certains sortent de la marginalité et on les retrouve dans la plupart des projets : le bois bien sûr, les isolants biosourcés évidemment, mais aussi, cette année, la terre crue.

 


Le Off du Développement Durable

Les organisateurs


ICEB
: L’Institut pour la Conception Écoresponsable du Bâti regroupe des praticiens de la conception. Il élabore des solutions innovantes en matière de développement durable dans le bâti et l’aménagement et fait évoluer les pratiques des acteurs par le partage de son expertise, ses recherches et expérimentations. asso-iceb.org
CO2D : Réseau de 40 praticiens issus de formations continues en qualité environnementale (architectes, urbanistes, ingénieurs, paysagistes, etc.), actif à toutes les échelles d’intervention du cadre bâti et du territoire, et qui s’inscrit dans une dynamique de partages d’expériences, débats et formation. co2d.fr
VAD : Regroupe et anime en Auvergne Rhône-Alpes un réseau de professionnels, acteurs de la construction et de l’aménagement durables. Son action est basée sur le partage, la mutualisation et la diffusion des savoirs et savoir-faire, dans une approche partenariale, globale et transversale.
ville-amenagement-durable.org

EnvirobatBDM : Rassemble les professionnels de la construction pour faire fructifier les connaissances, bonnes pratiques et innovations dans le domaine de la construction et de l’aménagement durables en Méditerranée. Plusieurs outils et activités assurent le partage des connaissances et la mise en pratique dont la démarche BDM. envirobat-med.net
enviroBAT Réunion – partenaire : Cet espace d'échanges entre les professionnels du cadre bâti a été créé à l’initiative du CAUE et de l’Ademe de La Réunion afin de promouvoir la qualité environnementale et architecturale dans les opérations d'aménagement et de construction de l'île et d’autres territoires au climat tropical humide. envirobat-reunion.com
ECOBATP LR : ECOBATP Languedoc-Roussillon est un centre de ressources régional et réseau d'acteurs de la construction, rénovation et aménagement durables basé à Montpellier. Son but est de favoriser les échanges, la réflexion, le partage d'expérience et la mise en place d'actions collaboratives innovantes. ecobatplr.org
POUCE POUSSE : Pouce-Pousse est un noyau de jeunes diplômés et d’étudiants nantais, formé suite au Solar Decathlon 2014. Leurs idées nous
invitent à bousculer notre imaginaire collectif, ils réunissent leurs multiples compétences dans ce laboratoire d’actions
pour faire pousser la ville. coll.poucepousse@gmail.com
EKOPOLIS : Ekopolis est le centre de ressources francilien pour l’aménagement et la construction durables. Son but est d’encourager le développement durable dans les champs de l’aménagement et de la construction et de mobiliser les acteurs concernés de la région Ile-de-France dans cette optique. ekopolis.fr

 
 

Le Off du
Développement Durable 2017




153 équipes ont répondu à l’appel à projet du OFF 2017. Dans un premier temps, 6 comités de sélection ont réuni, dans leur région, les membres des différentes associations organisatrices. Puis, dans un deuxième temps, un comité de sélection interrégional, se nourrissant de ces avis régionaux, a établi la liste définitive des projets retenus. Ce comité était composé d’un membre de chacune des associations organisatrices, assisté de 3 personnalités expertes : Dominique Gauzin Müller, architecte, enseignante, journaliste, Laure Planchais, paysagiste, lauréate du Grand Prix National du Paysage 2012, et Stéphanie Durniak, architecte, agence Oh !Som. Ces 26 projets ont été présentés sur quatre sites, le 29 juin 2017.

leoffdd.fr