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Plan régional d’actions pour sauvegarder les chauves-souris
Île-de-France 2018 - 2027

(2) 2012-2016 : premier plan d’actions
Déclinaison régionale du plan national d’actions 2016-2025



60 % des espèces de métropole vivent parmi les Franciliens
: la région Île-de-France accueille 20 espèces de chauves-souris, sur les 34 espèces recensées à ce jour en France métropolitaine. En plus de ces 20 espèces de chauves-souris franciliennes, deux espèces ont été observées
de manière occasionnelle en période de migration. Il s’agit de la Sérotine bicolore -
Vespetilio murinus - ) et de la Grande noctule : Nyctalus lasiopterus. Ces deux espèces ont été observées respectivement en 2014 et 2016. Au niveau régional, un premier plan d’actions a été rédigé
en 2011, qui a défini un certain nombre d’objectifs se déclinant en trois grands axes :
protéger, améliorer les connaissances et sensibiliser
et informer. Sur la période de mise en œuvre de ce plan - 2012-2016 -, les différents acteurs régionaux ont participé activement
à la mise en place de nombreuses actions tant à l’échelle régionale qu’à un niveau bien plus local.
L’ensemble de ces actions est présenté dans le bilan des 5 années de ce plan.

2012-2016 : premier plan d’actions

 

Au niveau régional, un premier plan d’actions a été rédigé en 2011, qui a défini un certain nombre d’objectifs régionaux se déclinant en trois grands axes : protéger, améliorer les connaissances et sensibiliser et informer.

Sur la période de mise en œuvre de ce plan (2012-2016), les différents acteurs régionaux ont participé activement à la mise en place de nombreuses actions, tant à l’échelle régionale qu’à un niveau bien plus local. L’ensemble de ces actions est présenté dans le bilan des 5 années du Plan régional d’actions en faveur des Chiroptères en Île-de-France 2012-2016.

 
  • Développement du réseau SOS chauves-souris : 110 SOS comptabilisés ; découverte de nouvelles espèces au niveau régional : Sérotine bicolore, Grande noctule ; découverte de nouvelles colonies.
  • Plus d’une vingtaine de structures intervenant directement dans la mise en œuvre des actions.
  • Amélioration des connaissances : répartition des espèces, localisation des gîtes d’hibernation et de reproduction : une centaine de sites d’hibernation suivis ; découverte de nouvelles colonies de reproduction : Grand murin à Souppes-sur-Loing…
  • Une dizaine de formations mises en place au niveau régional : animateur nature, identifications acoustiques, formation théorique à la capture.
  • 320 actions comptabilisées en faveur des chauves-souris durant la période 2012-2016.
  • Développement d’une Base de données régionale pour les chauves-souris.
  • Sensibilisation du grand public à la découverte des chauves-souris : 115 animations en 5 ans ; 1 450 participants.
 

Cette carte est issue du bilan du premier plan et fait état des connaissances actuelles sur les gîtes fréquentés et sur la répartition des observations. Elle les synthétise sans pour autant être exhaustive. De nombreux gîtes et sites de reproduction restent certainement encore à découvrir. (Biotope 2017 - Plan régional d’actions en faveur des Chiroptères en Île-de-France 2012-2016 : Bilan des 5 années).

 

Déclinaison régionale du plan national d’actions 2016-2025

 

Démarche régionale pour le deuxième plan

Décliner le plan national d’actions en faveur des Chiroptères 2016-2025

Afin de poursuivre la dynamique engagée dans le cadre des deux premiers Plans nationaux d’actions en faveur des Chiroptères, l’élaboration et la mise en œuvre d’un troisième plan sur la période 2016-2025 ont été décidées par le Ministère de l’écologie en accord avec l’ensemble des partenaires associés. Le plan régional d’actions s’inscrit également dans les objectifs et la temporalité du PNA.
Dans le cadre de ce nouveau plan national d’actions, trois axes principaux, qui orientent les actions à mettre en œuvre, ont été définis :

  • améliorer la connaissance et assurer le suivi en vue de la conservation des populations ;
  • prendre en compte les Chiroptères dans les aménagements et les politiques publiques ;
  • soutenir le réseau et informer.

Tirer parti du bilan du premier plan régional d’actions et poursuivre la dynamique

La déclinaison régionale du nouveau plan national doit permettre d’adapter au mieux ces mesures et actions au contexte de la région Île-de-France, et profiter des synergies et opportunités créées par la mise en œuvre du premier plan, comme la mise en œuvre d’un atlas régional en ligne.
À la suite du bilan du premier plan régional d’actions, le deuxième plan doit notamment permettre :

  • la mise en place d’un observatoire régional des chauves-souris ;
  • une meilleure coordination des actions régionales ;
  • une harmonisation géographique des connaissances ;
  • l’information et la sensibilisation des structures concernées par la problématique des Chiroptères ;
  • de favoriser la préservation de nouveaux gîtes ;

Petit rhinolophe, Rhinolophus hipposideros © Florent Pouzet, Biotope

Modalités d’élaboration et d’animation du deuxième plan régional d’actions

Le deuxième plan régional d’actions est élaboré en étroite collaboration entre la DRIEAT, le cabinet Biotope, un comité de suivi composé d’experts chiroptérologues régionaux, et les partenaires qui participeront à la mise en œuvre.
Pour chaque action, le cadre est défini dès l’élaboration du plan, mais son contenu évolue au cours des 10 années de mise en œuvre.
Tout au long du plan, l’animateur du plan, financé par la DRIEAT, vient en appui des partenaires qui s’investissent dans la mise en œuvre, et en particulier des pilotes d’action. Ces structures ont pour rôle d’orienter, évaluer, et, dans la mesure de leurs moyens, mettre en œuvre les actions.
Un comité de pilotage, réunissant l’ensemble des acteurs concernés par la connaissance et la préservation des chauves-souris - collectivités, associations, établissements publics, gestionnaires d’espaces naturels… -, se réunit annuellement pour faire le point sur l’avancement des actions et définir les priorités.

Espèces prioritaires du plan régional d’actions

Au niveau national, le PNA Chiroptères a défini 19 espèces prioritaires parmi les 34 espèces que compte la France métropolitaine. Elles ont été identifiées en fonction, entre autres, de leur état de conservation respectif, des tendances d’évolution des populations et de leur statut sur la liste rouge nationale (UICN et al., 2009).
Sur les 19 espèces prioritaires, 8 sont présentes en Île-de-France. Mais au niveau régional, le contexte francilien - urbanisation importante, fragmentation des milieux, rupture des corridors, pollution lumineuse… - a une incidence considérable sur l’état des populations de chauves-souris. Dans ces conditions, l’ensemble des chauves-souris présentes en Île-de-France sont considérées comme prioritaires dans le cadre du deuxième plan régional d’actions.

Murin de Bechstein, Myotis bechsteinii © Julien Tranchard, Biotope

 

Une décennie d’actions pour améliorer la situation

Le plan régional d’actions est articulé autour de 9 fiches actions, sur le modèle du plan national d’actions 2016-2025.

Action A : mettre en place un observatoire régional des chauves-souris

Depuis plusieurs années, Natureparif, désormais l’Agence régionale de la biodiversité en Île-de-France, s’attache à mettre en œuvre un observatoire de la biodiversité au niveau régional. À la suite du développement du module chauves-souris de la base de données Cettia Île-de-France, il apparaît utile de développer les outils permettant d’exploiter la base de données et ainsi de suivre le groupe des chauves-souris au niveau régional.
Le premier plan régional d’actions en Île-de-France a permis d’améliorer les connaissances sur la répartition des espèces ou encore d’augmenter l’effort de prospection.
Dans un contexte fortement urbanisé et avec une pression importante sur les populations de chauves-souris, il est nécessaire de mettre en place des outils de suivi de l’évolution des populations régionales et d’évaluation de leur état de conservation. Ces outils alimenteront l’observatoire régional pour le groupe des chauves-souris qui pourra ainsi partager et valoriser les connaissances acquises. La valorisation des suivis régionaux servira également dans le cadre des évaluations à plus grande échelle (ONB, rapportage Natura 2000).

Exemples de mise en œuvre de l'action :

  • création et mise à jour régulière par l’ARB Île-de-France d’un atlas dynamique des chauves-souris sur le site de l’Observatoire régional de la Biodiversité ;
  • production d’outils et d’indicateurs d’évaluation et de suivi de l’état de conservation des espèces - cartes de localisation, tendances d’évolution des populations… - par l’ARB Île-de-France à destination des collectivités, des associations naturalistes…

Action B : assurer la veille sanitaire en Île-de-France

Le suivi des épizooties représente un enjeu fort pour les populations de Chiroptères. La surveillance, impliquant un réseau de référents, permet une forte réactivité en cas de mortalité, par la collecte des données et la détermination des causes. La veille sanitaire participe à l’objectif de conservation des populations des chauves-souris, grâce à la mise en place de réseaux d’épidémiosurveillance.
Dans la continuité du premier plan régional d’actions, ceci passe au niveau régional par la mise en place de référents locaux, de formation sur les gestes à suivre en cas d’observation anormale, ou encore par le suivi et la transmission des échantillons collectés vers les organismes référents au niveau national.

Oreillard gris, Plecotus austriacus
© Vincent Prié, Biotope

Exemples de mise en œuvre de l'action :

  • participation des associations naturalistes aux formations, et remontée d’échantillons le cas échéant ;
  • diffusion des synthèses nationales annuelles par le MnHn au sein du réseau régional ;
  • synthèse annuelle des collectes et échantillons envoyés vers les organismes référents au niveau national, par le pilote de l’action (MnHn) et l’animateur du plan régional d’actions.

Action C : prendre en compte les chauves-souris dans les aménagements en Île-de-France

L’aménagement du territoire a des effets importants sur les territoires de chasse des chauves-souris, les corridors de déplacement ou encore la fragmentation des milieux. L’ensemble des modifications apportées aux milieux a une influence directe sur les populations de chauves-souris - diminution des habitats de chasse, risque de collision… - ; les infrastructures de transport constituent une des causes de mortalité des chauves-souris et modifient les corridors et terrains de chasse. Les parcs éoliens peuvent également avoir des impacts sur les populations de chauves-souris, notamment les espèces de très haut vol. Il est nécessaire de prendre en compte les chauves-souris tant dans le cadre de la conception et l’évaluation des aménagements, que pendant leur suivi et leur entretien.

Entrée d’une ancienne carrière dans le Vexin
© Julien Tranchard

Exemples de mise en œuvre de l'action :

  • mise en place par les Conseils départementaux de programmes pluriannuels d’évaluation de la fréquentation des ouvrages d’art des départements - ponts… - par les chauves-souris ;
  • rédaction et diffusion d’une fiche de sensibilisation à la présence des chauves-souris dans les ouvrages d’art par les Parcs naturels régionaux à destination des communes de leurs territoires ;
  • communication des retours d’expérience collectés par les bureaux d’études mandatés pour suivre les mesures ERC des projets d’aménagement.

Action D : réduire la pollution lumineuse vis-à-vis des chauves-souris

Les chauves-souris sont adaptées à l’environnement nocturne et souffrent d’une pollution lumineuse croissante qui influence leur comportement. La lumière modifie le comportement des insectes et les habitudes de chasse des Chiroptères. Elle peut également constituer une barrière au déplacement de certaines espèces ou encore retarder sensiblement la sortie des colonies. Ces problématiques sont particulièrement présentes en Île-de-France où la pollution lumineuse est très importante.
Il apparaît indispensable de soutenir toute action permettant de réduire les éclairages à proximité des gîtes ou encore de développer un réseau de trames noires.

Exemple de mise en œuvre de l'action :

  • étude des routes de vols autour des colonies connues, et développement d’une trame noire autour des colonies de chauves-souris, en lien avec les communes concernées et les associations naturalistes du territoire.
    Ce type d’étude peut notamment être réalisé au sein des territoires des Parcs naturels régionaux.

Action E : suivre et protéger les gîtes souterrains

Les espèces cavernicoles souffrent du dérangement humain et de la perte d’habitats. En Île-de-France l’essentiel des sites d’hibernation des chauves-souris sont des anciennes carrières ou des aqueducs. Le contexte francilien entraîne une pression importante sur ces milieux indispensables aux chauves-souris, que ce soit en termes de dérangement - fréquentation nocturne, feux, … - ou de fermeture : comblement des sites… Il est nécessaire de mettre en place des actions permettant de découvrir de nouveaux sites d’hibernation, de suivre l’utilisation des gîtes et de les protéger.

Exemples de mise en œuvre de l'action :

  • comptages annuels des gîtes par les associations naturalistes et les spéléologues, en lien avec l’Inspection Générale des Carrières. Coordination de ces comptages par AZIMUT 230 - pilote de l’action - et diffusion d’une synthèse annuelle des résultats ;
  • mise en place de programmes d’études de l’utilisation des sites souterrains par les chauves-souris en période de swarming* pouvant être financés par les Parcs naturels régionaux, les Conseils départementaux ou encore le Conseil régional ; * voir glossaire en bas de page
  • protection d’un gîte souterrain par la pose d’une grille financée par une commune.
Milieu favorable aux chauves-souris
© Nicolas Galand

Action F : suivre et protéger les gîtes dans les bâtiments

En Île-de-France, la connaissance des colonies et gîtes dans les bâtiments est particulièrement faible. Il apparaît indispensable à la fois de localiser et suivre les colonies de chauves-souris dans les bâtiments mais également de favoriser leur préservation et leur accueil. Ceci passe, entre autres, par :

  • la mise en place d’actions ciblées sur la recherche de colonies dans les bâtiments, ponts… ;
  • le développement de programmes d’actions d’aménagement des gîtes ;
  • l’amélioration des connaissances sur ces types de gîtes et l’assurance de la bonne prise en compte des chauves-souris dans le cadre de travaux d’isolation, surtout dans le contexte actuel de rénovation des bâtiments.

Exemples de mise en œuvre de l'action :

  • comptages annuels des gîtes par les associations naturalistes, synthèse annuelle des résultats et diffusion ;
  • mise en place de programmes de localisation de nouveaux gîtes et colonies - week-end de prospections, partenariats avec des communes pour visiter les bâtiments… - pouvant être financés par les Conseils Départementaux, Parcs naturels régionaux, communes, et organisés par les associations naturalistes ;
  • aménagements de gîtes au sein de monuments historiques, en lien avec les propriétaires et la DRAC.

Action G : améliorer la prise en compte des Chiroptères dans la gestion forestière publique et privée

La gestion forestière engendre des impacts positifs et négatifs non négligeables sur les populations de Chiroptères forestiers. En Île-de-France, les forêts couvrent une surface de 261 000 ha soit 21 % du territoire de la région. En plus de leur rôle économique - production de bois - et écologique, les forêts de la région ont également un rôle important d’accueil du public. Il est nécessaire que la gestion des boisements prenne en compte les besoins des chauves-souris, notamment en termes d’arbres gîtes. Ceci passe par la mise en place de programmes permettant de préciser les connaissances actuelles, d’identifier les lacunes, et de suivre les populations de chauves-souris forestières en Île-de-France, que ce soit en termes de répartition des espèces, d’utilisation des gîtes ou de terrains de chasse. La prise en compte des Chiroptères dans la gestion forestière passe également par la mise en place de programmes de formation à destination des acteurs forestiers.

Allée Vieille forêt
© Julien Tranchard

Exemples de mise en œuvre de l'action :

  • diagnostic des connaissances sur les différents massifs forestiers régionaux, en lien avec les gestionnaires forestiers et les associations naturalistes ;
  • formation des acteurs forestiers à la prise en compte des chauves-souris dans la gestion sylvicole par l’Office national des forêts et le Centre régional de la propriété forestière.

Action H : intégrer les Chiroptères dans les pratiques agricoles

Certaines pratiques agricoles, par l’usage d’antiparasitaires, de pesticides et par le remembrement, nuisent à l’état de conservation des populations de chauves-souris utilisant l’espace agricole. Il s’agit de concilier les pratiques et la préservation des Chiroptères, en favorisant le maintien des populations de chauves-souris dans les exploitations agricoles - elles constituent par ailleurs de très bons alliés dans la lutte contre les ravageurs de cultures -, et également de sensibiliser les éleveurs et centres équestres à l’utilisation de vermifuges moins néfastes pour les chauves-souris. Une attention particulière sera également portée vis-à-vis de la préservation et de la création de milieux favorables - haies, prairies, bandes enherbées… - aux Chiroptères compte tenu de leur faible représentativité dans la région.

Exemples de mise en œuvre de l'action :

  • mise en place de programmes pilotes pour mettre en œuvre et suivre des actions concrètes en faveur des chauves-souris dans les exploitations agricoles - évolution des pratiques agricoles, aménagement du bâti, pose de nichoirs, plantations de haies… - en partenariat avec l’ARB Île-de-France et les groupements d’agriculteurs volontaires.
  • sensibilisation de centres équestres par les Parcs naturels régionaux aux conséquences des traitements anti-parasitaires.

Action I : soutenir les réseaux, promouvoir les échanges et sensibiliser

Le plan régional d’actions 2012-2016 a permis d’impliquer différents acteurs d’Île-de-France dans l’étude et la conservation des chauves-souris. Il est nécessaire de soutenir et de développer la dynamique générée au cours de ce premier plan régional, en continuant d’impliquer les acteurs et en suscitant l’adhésion de nouvelles structures. Les échanges et la diffusion des expériences au sein du réseau d’acteurs régionaux doivent permettre de mutualiser les actions et d’amplifier l’efficacité des projets. De plus, pour une meilleure protection des populations de Chiroptères, il est essentiel de maintenir les actions de sensibilisation du grand public à la biologie et à la conservation de ces espèces.

Exemples de mise en œuvre de l'action :

  • diffusion par l’animateur d’études et de publications relatives aux chauves-souris auprès du réseau d’acteurs impliqués ;
  • mise en œuvre de programmes de sensibilisation du grand public sur l’écologie et la conservation des chauves-souris par les associations naturalistes, les Parcs naturels régionaux, l’Agence des espaces verts d’Île-de-France, les départements, les communes…



Allée forestière © Olivier Marchal, PNR de la Haute Vallée de Chevreuse

Glossaire

Swarming : les accouplements ont lieu en automne. Mâles et femelles de certaines espèces se regroupent dans des sites dits de swarming. Un site de swarming ou de regroupement automnal est un site qui accueille la nuit, de la mi-août au mois de novembre, des rassemblements importants de chauves-souris devant ses entrées et à l’intérieur. Cette activité, liée aux accouplements, peut se traduire par des vols incessants, des poursuites, des cris sociaux. Des individus de différents secteurs peuvent ainsi se rencontrer, ce qui permet un brassage génétique. Ces sites peuvent tout autant correspondre à des sites d’accueil en période d’hibernation qu’à des sites qui n’ont pas d’intérêt pour les chauves-souris en été et en hiver. Il est à noter que les sites de swarming peuvent ne pas accueillir de chiroptères en journée.

 
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Plan régional d’actions pour sauvegarder les chauves-souris
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Animé par

   
   
 

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Coordination : Azimut 230 / Alcathoé / DRIEAT Île-de-France
Comité de relecture : Jérôme HANOL (ANVL), Charlotte GIORDANO (Azimut 230), Stéphane LUCET (DRIEAT), Manuelle RICHEUX (DRIEAT), Sébastien SIBLET (Ecosphère),
Jean-François JULIEN (MNHN), Julie MARMET (MNHN), Maxime ZUCCA (Agence régionale de la biodiversité en Île-de-France), Sandrine MILANO (ONF),
Julie MARATRAT (PNR du Gâtinais français), Alexandre MARI (PNR de la Haute-Vallée-de-Chevreuse), Arnaud BAK (PNR de la Haute-Vallée-de-Chevreuse),
Nicolas GALAND (PNR du Vexin français), Christophe PARISOT (Seine-et-Marne Environnement), Gaël MONVOISIN (COSIF), Sylvestre PLANCKE (CD 77),
Richard COUSIN (CD 78), Valérie STRUBEL (FCEN), Pierre BANCEL (Comité Départemental de Spéléologie du Val d’Oise - Commission de protection du patrimoine souterrain).

   
 

Rédaction : biotope.fr
Mise à jour 2023 par la DRIEAT Île-de-France
Dépôt légal : Février 2023 - ISBN : 978-2-11-167993-1

plan-actions-chiropteres.fr

Un programme du
Direction régionale et interdépartementale de l’environnement,
de l’aménagement et des transports d’Île-de-France
(DRIEAT)
drieat.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr